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Beg-An-Hent-Bras, Roudouallec

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Un blog non officiel sur la commune de Roudouallec (Morbihan - 56   Bretagne)  le passé, le présent, l'imparfait...

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Beg-An-Hent-Bras, Roudouallec

un lotissement près du Trépas...

 

la résidence Ker Isole dans l'axe des futurs logements locatifs on reconnaît le toit de la maison de feu l'ancien maire P. Le Goff la bonne terre est remplacée par du béton au coeur du lotissement, vers la route de Gourin un (petit, nous a-t-on dit) passage à la place du mini-parking

la résidence Ker Isole dans l'axe des futurs logements locatifs
la résidence Ker Isole dans l'axe des futurs logements locatifs 
Jamais nous n'aurions pensé qu'un jour, l'on aurait créé un lotissement à cet endroit-là, parce que c'était une pâture relativement petite, inaccessible de la route de Gourin, et difficile d'accès par l'étroit chemin situé à proximité du lavoir aujourd'hui disparu!

Et puis les choses ont changé. Les gens aussi.

Avant que l'actuel petit parking n'existe à cet endroit de la rue Nicolas Le Grand, on y trouvait deux "penty" où vivait notre ancienne compatriote Soaze Nédélec, puis un autre, plus petit encore, dans lequel habitait
Anna Bleuzen jusqu'à sa mort en 1969,
et un autre,où vivait "Zavatta"
qui se déplaçait sur un tricycle un peu étrange à l'époque car mu par les mains...A la mort de Zavatta, Jo Bordier en avait fait un garage pour ses petits cars de ramassage scolaire et de déplacements
pour les foires à Gourin.

Et puis, lentement et sûrement, ces vieilles bâtisses sont tombées en ruines, personne n'ayant voulu
en faire l'acquisition car
"ça serait revenu trop cher de les faire arranger"
d'autant plus que les propriétaires d'alors du champ de derrière,n'étaient guère favorables à le vendre,
 ce champ, ce qui aurait tout de même permis de
"faire une sortie" derrière ces petites maisons.

Le temps a donc passé...

On est en train d'y bâtir 6 logements individuels locatifs, sous la houlette finistérienne
de la société Habitat 29.

Des informations sont rendues publiques sur un grand panneau, visible côté route de Gourin.

Architectes MAUGARD Henri QUIMPER
Contrôleur Technique
SOCOTEC QUIMPER
Sécurité
Protection de
la Santé
VERITAS BREST
Pilotage Chantier OUEST COORDINATION QUIMPER

On constate qu'il n'y a pas, à ce stade, d'entreprise morbihanaise, encore moins locale.

Mêmes remarques, à propos des différentes catégories de travaux de construction! Cette non-présence de noms d'entreprises locales nous interpelle; il y a sûrement une ou des explication(s) à ces absences,
mais nous ne les connaissons pas.

TERR. GROS OEUVRE MORVAN BRIEC
COUVERTURE ARDOISE LE LOUARN HUELGOAT
MENUISERIE INT. GUYVARCH BAYE
 FAIENCE REVET. SOLS
SOL DE CORNOUAILLE
 QUIMPER
 CONDUIT FUMÉE MÉTAL.
LE LOUARN
 HUELGOAT
 CHARPENTE BOIS
 ACM QUISTINIC
 MENUISERIE EXT. PVC
 GUYVARCH  BAYE
 PLATRERIE CLOIS. ISOL.
 NICOL  QUEVEN
 ÉLECTRICITÉ CHAUF. WC  AQUATHIS  BRIEC
 PEINTURE PAPIERS PEINTS
 LABEL PEINTURE
 GOUESNOU
 PLOMB.SANITAIRE
SBII
 GOURIN

Les tâches sont à présent attribuées, chacun sait ce qu'il doit faire. Les délais de "livraison" seront respectés et les nouveaux logements seront rapidement occupés par les nouveaux locataires.

ESPÉRONS
QUE
LE PETIT CHEMIN VERT ET OMBRAGÉ

QUI S'APPELLE
" ALLÉE DES MONTAGNES NOIRES "

NE SERA PAS DU TOUT ABÎMÉ
PAR CES GROS TRAVAUX
et que

LES PROMENEURS POURRONT TOUJOURS
S'Y PROMENER DANS LA VERDURE,
L'OMBRE ET LA PAIX.

 

 

 

construction des maisons = disparition des lieux de verdure l'entrée, juste derrière la Résidence Kerisole ce champ a été vert, il y a peu de temps encore. pourvu que l'on ne massacre pas ce joli hâvre de verdure et de Paix ! le début de la fin pour la jolie verdure?

construction des maisons = disparition des lieux de verdure
construction des maisons = disparition des lieux de verdure 
 
 

 

prêtes pour l'hiver?

 

 
Peut-être !

Si les poseurs d'ardoises maintiennent un bon rythme de travail, comme le laisse supposer ce que nous avons pu voir dans le calme
 de ce dimanche après-midi 17 octobre 2010.

On est en effet en train de poser les ardoises sur les 6 logements h.l.m. en cours de construction derrière la résidence Ker Isole.
On peut même remarquer que des panneaux captant l'énergie solaire
ont été posés sur des toits. Il en sera ainsi, vraisemblablement,
pour les 6 maisonnettes. L'usage nous dira si cela est réellement efficace, et source d'économies...

Donc, encore un peu de patience
avant de voir complètement couvertes les 6 maisons.
 

 

le banc...

 

 
Cela fait déjà plusieurs semaines que nous avons tous et toutes remarqué la présence d'un banc blanc, légèrement beige, le long du mur principal du cimetière, près du portillon "est",
rue Jean-Pierre Bénéat.

Au début, certaines personnes pensaient que quelqu'un avait déposé là ce banc, pour que le camion de ramassage des ordures l'aperçoive et l'embarque pour la déchetterie gourinoise.

Or, il n'en est rien!

Un conseiller municipal nous a "tout" raconté:

" Ce banc a été trouvé dans la haie plus ou moins sauvage, broussailleuse, située près de la maison de Mimi Gestin
(Mme Rospars), à Pont Moor, face aux containers de déchets et autres bouteilles vides. Le banc en question n'avait évidemment pas été placé là à l'origine; il est identique à celui se trouvant sous l'abri-bus de la Place Pierre Le Guen.

Et selon toute vraisemblance, ce sont des "jeunes" qui auraient "déplacé" ce banc, si on peut dire, d'on ne sait trop où, en fait, pour le jeter dans cette haie sauvage près de l'Isole.Il y a longtemps de ça! C'est un employé communal qui l'a vu, le banc, près de chez Mimi, et qui m'en a informé aussitôt",
ajoute le conseiller municipal, que nous savons
au-dessus de tout soupçon.

Le conseiller a immédiatement pensé à une suggestion que nous nous étions permis de lui faire il y a un certain temps:

installer des bancs publics ça et là le long des rues de notre commune pour soulager les promeneurs.

Avec l'esprit d'à-propos qu'on lui connaît bien, notre ami conseiller a aidé l'employé communal à extraire le banc de cet endroit envahi par les ronces et les saletés que l'on imagine. Ensuite, le banc a été nettoyé fermement au karcher, rincé aussi...

Après quelques jours de séchage, l'employé a peint le banc selon ce que notre ami conseiller lui avait demandé. Et finalement, l'homme de la Mairie a fait installer le banc à l'endroit que l'on sait,

 en espérant bien que les promeneuses et les promeneurs n'hésiteraient pas à s'y assoir
en guise de pause.

Oui mais voilà.......

On n'avait pas fait attention au fait que les fils électriques, pauses aériennes des oiseaux qui volent dans le ciel de Roudouallec,
passaient pile au-dessus du banc en question! Et que les oiseaux qui y faisaient une halte, en profitaient aussi pour déféquer... et que les excréments tombaient en plein sur le banc!!!

LA solution a été bien rapidement trouvée:

le banc va être tout simplement déplacé vers un autre endroit,
dans le même secteur, mais sans fil électrique au-dessus
cette fois-ci.

PS: Ce récit a l'air d'une bonne blague, mais pourtant
c'est la vérité.




 

 

des nouvelles du "banc" blanc près du cimetière...

 

 
Ce lundi 2 août 2010 en fin d'après-midi, alors que nous nous rendions à l'inhumation de François Kervran, nous avons rencontré Éric Quéré, au Trépas, qui nous a rafraîchi la mémoire à propos du fameux banc blanc posé près d'un portillon du cimetière il y a quelques mois.

Voici de quoi il en retourne:

Ce banc se trouvait au fond de la cour
de l'école publique,
placé contre le mur en briques de l'abri faisant "dos" à
l'ouest, au champ mitoyen à l'école. À côté de lui se trouvaient deux arbres de la cour. Ce banc était alors
de couleur rouge.

"C'était le banc de Monsieur Le Bris!"
a insisté Éric.

Et puis, lors de la déconstruction partielle de ce bâtiment de l'école publique, pour refaire la neuve actuelle, ce banc a été emporté avec les autres gravas
qu'une telle déconstruction génère, et utilisé avec lesdits gravas pour combler un grand trou se trouvant près de chez Mimi Gestin, au bord de l'Isole
et du terrain de foot-ball.

Avec le temps qui passe, et le mauvais temps et ses conséquences surtout, le banc en question est redevenu "visible", a été vu par un employé communal, etc...

La suite, on la connaît.
Le banc rouge est donc devenu blanc, et placé le long du mur du cimetière, rue Jean-Pierre Bénéat.
Peu de personnes s'y reposent; car comme des fils passent juste au-dessus de ce banc, que les oiseaux se posent sur ces fils, que ces mêmes oiseaux font caca et que ça tombe juste sur le banc, on n'est guère enclin à s'y asseoir.

Actuellement, on cherche un nouvel emplacement. Mais ce n'est pas si évident, car il y a des fils partout.
Mais on finira par trouver.