Beg-An-Hent-Bras, Roudouallec
les Potirons d'Octobre 2010: samedi 9...
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| Madeleine Eveno-Bordier et Annick Le Marc'Hadour, très copines. |
Il y a 3 séries de chacune 4 photos, soient 12 photos pour ce samedi.
Pour regarder les photos "en grand", il suffit de cliquer DESSUS.
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Première chose: le temps était très agréable pour le Festival des Potirons 2010, même si le ciel portait quelques nuages.
Le samedi, l'entrée est gratuite; ça commence vers 5h de l'après-midi, heure à laquelle certains exposants n'avaient pas encore fini de déballer leurs affaires, les traînards!
Eh bien, contrairement à l'année dernière, il y avait du monde ce samedi 9, à cette heure-là! Certaines personnes sont donc venues "voir", se promettant bien de revenir le lendemain dimanche, même s'il fallait payer 6 euros, car il y avait plus de choses à voir, et plus de monde à rencontrer. Nous avons "repéré" et reconnu des personnes des communes voisines, Morbihan et Finistère.
Les Reines et Rois du jour, les Courges et les Potirons, occupaient les meilleures places, à savoir juste à l'entrée du site, près de la salle polyvalente. Une dame a acheté plusieurs potirons, si bien que Pierre Le Lay, gentil comme il est, s'est empressé de les lui transporter dans une brouette jusqu'au coffre de sa voiture (celle de la dame).
Notre ami Pierre Guyomar, de Gourin, dit "Peter", et sa dame, nous ont fait part de leur satisfaction d'être là. Peter nous a fait une leçon de botanique sur les courges et l'art de les accommoder.
Nous avons longtemps bavardé avec Jean-Yves Deniel, de Penhoas, qui s'ennuie un peu, tout seul dans la maison de ses parents.
Jean-Yves Péron, ancien boulanger à Coray, son épouse Sophie et leur petit Glazik Ewen, se sont bien amusés eux-aussi! Figurez-vous qu'ils nous ont offert un bouquet de Dahlias Pompon "mod kozh" que nous affectionnons particulièrement.
Les crêpes chaudes, au lait, à l'eau, au jambon, etc... n'ont pas duré bien longtemps, tellement elles étaient bonnes! Et pas chères... Nous en avons ramené deux à la maison, pour le soir... De même, notre boulanger Denis et ses compères ont aussi bien vendu le pain aux potirons.
Le repas du soir a bien "marché" aussi, de même que le Fest-Noz. Certains sont rentrés chez eux très "tôt" dimanche matin....
........ à suivre....
les Potirons d'Octobre 2010: dimanche...
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| les reines et les rois du jour... |
Environ 200 personnes ont pris part à la Randonnée des Potirons! Du "jamais vu"!! Tant mieux, d'autant plus que le circuit était un beau circuit, aux dires des randonneuses et des randonneurs.
Le matin, c'est le moment où arrivent les chevaux, rue Jean-Pierre Bénéat, ou route du cimetière. Les propriétaires les sortent plutôt délicatement des vans spéciaux, et les attachent aux cordes spécialement installées pour cela. Certes, il faut bien regarder où l'on met les pieds, car de nombreux monticules de korc'h kiezeg jonchent alors le bitume de la route... Certains chevaux étaient de toute beauté! Et leur regard étaient aussi fort émouvant. Que sont-ils à présent devenus?
L'un des cuisiniers du repas de midi (steaks de boeuf, steaks de cheval...) nous a fait part de leur satisfaction du nombre de convives qui s'étaient retrouvés autour des tables. D'après ce que cette même personne a ajouté, les cuisiniers-grilleurs ont servi davantage de steaks de cheval, que de boeuf: notre ami a même fini par ajouter que l'équipe de cuisine estimait à 60% la consommation de cheval, et à 40% la consommation de boeuf.
Le beau temps était de la fête, et c'est tant mieux. 6 euros, tel était le prix pour entrer sur le site. Cela "valait le coup", tant les stands étaient nombreux et variés. Les charrettes de potirons garées sur la route, les stands de courges à l'intérieur de la salle, les expos, tout ce qui concernait les potirons a eu un succès certain. Le contraire eut été navrant, du reste...
Nous avons particulièrement apprécié le stand des poules et des lapins de races, près de la Pharmacie... les 9 petits chiots si adorables qui attendaient un nouveau propriétaire, bien collés les uns aux autres dans la petite voiture de leur propriétaire... le défilé superbe de tous les chevaux, place du Monument aux Morts, qui a rassemblé tant et tant de monde, derrière les barrières protectrices... le forgeron qui ferrait des chevaux, près de l'entrée de l'école publique... le petit pressoir à cidre, chez Yvette et Jean Riou, où l'on pouvait boire un verre de cidre venant d'être pressé...les statuettes du gourinois Jean Dufleit...
le Fest-Deïz, où il était difficile de se frayer une place pour danser! Certains s'y sont mis dehors, carrément, pour ce faire!!! Et la brodeuse de napperons... Et ceci, et cela... Nous avons vu passer un orgue de Barbarie, mais hélas, nous ne l'avons pas entendu.
Compte tenu du nombre si important de spectatrices et de spectateurs, des rencontres-surprises, des retrouvailles émouvantes ont pu être réalisées. Et d'ores et déjà, des rendez-vous sont pris pour l'année prochaine...
Pour finir, disons que chacune et chacun aura pu trouver dans le festival ce qu'elle ou qu'il souhaitait. Chacun a vécu au fond de lui-même "son" festival. Cette édition 2010 a été une bonne édition; et nous pouvons largement remercier toutes celles et tous ceux qui, d'une manière ou d'une autre, y ont contribué.
L'un des cuisiniers du repas de midi (steaks de boeuf, steaks de cheval...) nous a fait part de leur satisfaction du nombre de convives qui s'étaient retrouvés autour des tables. D'après ce que cette même personne a ajouté, les cuisiniers-grilleurs ont servi davantage de steaks de cheval, que de boeuf: notre ami a même fini par ajouter que l'équipe de cuisine estimait à 60% la consommation de cheval, et à 40% la consommation de boeuf.
Le beau temps était de la fête, et c'est tant mieux. 6 euros, tel était le prix pour entrer sur le site. Cela "valait le coup", tant les stands étaient nombreux et variés. Les charrettes de potirons garées sur la route, les stands de courges à l'intérieur de la salle, les expos, tout ce qui concernait les potirons a eu un succès certain. Le contraire eut été navrant, du reste...
Nous avons particulièrement apprécié le stand des poules et des lapins de races, près de la Pharmacie... les 9 petits chiots si adorables qui attendaient un nouveau propriétaire, bien collés les uns aux autres dans la petite voiture de leur propriétaire... le défilé superbe de tous les chevaux, place du Monument aux Morts, qui a rassemblé tant et tant de monde, derrière les barrières protectrices... le forgeron qui ferrait des chevaux, près de l'entrée de l'école publique... le petit pressoir à cidre, chez Yvette et Jean Riou, où l'on pouvait boire un verre de cidre venant d'être pressé...les statuettes du gourinois Jean Dufleit...
le Fest-Deïz, où il était difficile de se frayer une place pour danser! Certains s'y sont mis dehors, carrément, pour ce faire!!! Et la brodeuse de napperons... Et ceci, et cela... Nous avons vu passer un orgue de Barbarie, mais hélas, nous ne l'avons pas entendu.
Compte tenu du nombre si important de spectatrices et de spectateurs, des rencontres-surprises, des retrouvailles émouvantes ont pu être réalisées. Et d'ores et déjà, des rendez-vous sont pris pour l'année prochaine...
Pour finir, disons que chacune et chacun aura pu trouver dans le festival ce qu'elle ou qu'il souhaitait. Chacun a vécu au fond de lui-même "son" festival. Cette édition 2010 a été une bonne édition; et nous pouvons largement remercier toutes celles et tous ceux qui, d'une manière ou d'une autre, y ont contribué.
