Beg-An-Hent-Bras, Roudouallec
les Potirons d'Octobre 2010: de l'émotion vraie...
Ce Dimanche 10 Octobre 2010, second jour du Festival du Potiron à Roudouallec, votre serviteur a eu ÉNORMÉMENT D'ÉMOTION à retrouver trois copines d'école maternelle, lorsque celle-ci se trouvait encore derrière la Mairie!!!! C'était la classe de l'adorable Madame Marhic et c'était au milieu des années 50!!!!!
Sur la photo, de gauche à droite, on revoit:
>>>Marie-Claire Péron-Mahé
>>>Anne-Marie Le Floc'h-Quéré
>>> Mireille Berthelom
Pour ce qui est de l'émotion proprement dite, ce sont des moments forts qui restent dans le coeur et que l'on garde pour soi. Nous souhaitons que toutes les personnes qui nous font l'amitié de parcourir ce blog puissent à leur tour, à votre tour, un jour, vivre une journée aussi forte en émotions que celle que nous avons passée. Merci.
.............................. à suivre.....
Sur la photo, de gauche à droite, on revoit:
>>>Marie-Claire Péron-Mahé
>>>Anne-Marie Le Floc'h-Quéré
>>> Mireille Berthelom
Pour ce qui est de l'émotion proprement dite, ce sont des moments forts qui restent dans le coeur et que l'on garde pour soi. Nous souhaitons que toutes les personnes qui nous font l'amitié de parcourir ce blog puissent à leur tour, à votre tour, un jour, vivre une journée aussi forte en émotions que celle que nous avons passée. Merci.
.............................. à suivre.....
le "marché" des potirons...
pratiquement au bord de la rue... les automobilistes,oblig és de voir |
Davantage de "pub", dans les journaux et ailleurs, aurait été une très bonne chose pour les amateurs et amatrices de potirons!
Explication :
comme beaucoup d'autres lecteurs, nous avons lu dans le journal de ce samedi 23 octobre 2010 que, compte tenu des excellentes récoltes de potirons cette automne, tout n'avait pu être vendu lors du récent festival des potirons à Roudouallec. Il en restait pas mal... et c'eut été dommage de les jeter ou de les donner à manger aux animaux.Alors quelques membres de l'équipe se sont dit: pourquoi ne pas organiser, tant que les citrouilles sont encore "présentables", un mini-marché sur la place Pierre Le Guen (salle polyvalente), mini-marché au cours duquel ne seraient proposés aux éventuels acheteurs QUE ces potirons disons invendus, et ceux cueillis après les autres???
Aussitôt dit, aussitôt fait. Une ou deux parutions de brève annonce dans les journaux locaux, et l'affaire était lancée! Et cela rapporterait un peu plus d'argent pour le comité organisateur. Par les temps qui courent, tout gaspillage est vraiment malvenu.
C'est pourquoi ce samedi, les Roudouallecois et les autres sont re-venus faire un tour au bourg et acheter éventuellement quelques potirons ou autres courges. Nous, nous avons fait l'acquisition d'un potimaron pour faire du potage, et de deux "je-ne-sais-plus-quel-nom" pour faire "comme des tomates farcies" avec.......
Nous avons été réellement fort bien accueillis par les trois jolies dames bénévoles, avec qui nous avons bien bavardé, et qui ont bien voulu poser pour la postérité. Que ne ferait-on pas pour la renommée de Roudouallec?!
Antoinette Cospérec, dramatique été 1944 . . .
Antoinette était très belle. |
Ce dimanche 16 juillet 1944 en soirée, quatre compères maquisards s'arrêtent boire un verre au café de Joachim Cospérec à Langonnet. L'une des filles de la maison, Antoinette, est heureuse de les voir de retour.
Alors que les maquisards s'assoient à une table du bistrot, Antoinette s'avance vers eux pour prendre leur commande. L'un d'eux, un peu gêné par un pistolet qu'il porte à sa ceinture, veut se libérer de son arme un moment pour boire son verre. Mais, sans qu'il ne s'en soit rendu compte, une balle était restée dans le canon du pistolet...
... Le coup part... Le drame... La malheureuse Antoinette, qui se trouvait juste en face, reçoit la balle à la hauteur de la gorge! La balle lui perce la veine carotide!!!...
Antoinette s'écroule; elle a encore la force de dire: "Papa, je vais mourir!".......
Le docteur Ansquer arrive rapidement sur les lieux. Mais hélas, malgré tous les efforts entrepris pour sauver Antoinette, et même aidé par un chirurgien-dentiste lorientais réfugié à Langonnet, Antoinette meurt, exsangue, aux alentours de 4h du matin le lundi 17 juillet.
Antoinette Cospérec était née à Langonnet le 9 septembre 1923. Elle avait 21 ans.
Alors que les maquisards s'assoient à une table du bistrot, Antoinette s'avance vers eux pour prendre leur commande. L'un d'eux, un peu gêné par un pistolet qu'il porte à sa ceinture, veut se libérer de son arme un moment pour boire son verre. Mais, sans qu'il ne s'en soit rendu compte, une balle était restée dans le canon du pistolet...
... Le coup part... Le drame... La malheureuse Antoinette, qui se trouvait juste en face, reçoit la balle à la hauteur de la gorge! La balle lui perce la veine carotide!!!...
Antoinette s'écroule; elle a encore la force de dire: "Papa, je vais mourir!".......
Le docteur Ansquer arrive rapidement sur les lieux. Mais hélas, malgré tous les efforts entrepris pour sauver Antoinette, et même aidé par un chirurgien-dentiste lorientais réfugié à Langonnet, Antoinette meurt, exsangue, aux alentours de 4h du matin le lundi 17 juillet.
Antoinette Cospérec était née à Langonnet le 9 septembre 1923. Elle avait 21 ans.