Beg-An-Hent-Bras, Roudouallec
Madame Christelle Bergot.
Samedi après-midi 12 septembre 2009, je suis allé faire quelques achats à Chateauneuf-du-Faou (29), dans le supermarché situé face à la Gendarmerie.
Alors que je finissais de payer les achats à la caisse et que je les remettais dans mon caddy, je remarque une dame très élégante qui attendait quelqu'un finissant également de passer à une caisse voisine.
J'ai immédiatement reconnu la dame dont le journal local bien connu "le Poher Hebdo" avait parlé en pleine page dans sa dernière édition n°706 semaine du 9 au 15 septembre 2009: Madame Christelle Bergot, qui s'appelait Guy Bergot avant 2006, date à partir de laquelle, suite à plusieurs opérations chirurgicales, elle est devenue femme , et qui vit actuellement à Chateauneuf-du-Faou.
Je suis allé vers elle dans le but de lui parler, pour lui dire combien j'admirais sa volonté et son courage d'avoir pu aller jusqu'au bout de ce qu'elle avait toujours voulu au fond d'elle. Madame Bergot m'a répondu fort aimablement, surprise d'avoir été reconnue telle une vedette parmi les gens ordinaires.
Et puis, deuxième hasard, sur le parking, ma voiture était garée non loin de la sienne; si bien que nous avons pu encore échanger quelques mots.
Cette rencontre est totalement le fruit du hasard. J'ai toujours tiré mon chapeau bien bas à toutes les personnes qui n'hésitent pas à aller jusqu'au bout de leurs convictions avec autant de courage et de volonté, face au regard des autres, pas toujours forcément approbateur.
Alors que je finissais de payer les achats à la caisse et que je les remettais dans mon caddy, je remarque une dame très élégante qui attendait quelqu'un finissant également de passer à une caisse voisine.
J'ai immédiatement reconnu la dame dont le journal local bien connu "le Poher Hebdo" avait parlé en pleine page dans sa dernière édition n°706 semaine du 9 au 15 septembre 2009: Madame Christelle Bergot, qui s'appelait Guy Bergot avant 2006, date à partir de laquelle, suite à plusieurs opérations chirurgicales, elle est devenue femme , et qui vit actuellement à Chateauneuf-du-Faou.
Je suis allé vers elle dans le but de lui parler, pour lui dire combien j'admirais sa volonté et son courage d'avoir pu aller jusqu'au bout de ce qu'elle avait toujours voulu au fond d'elle. Madame Bergot m'a répondu fort aimablement, surprise d'avoir été reconnue telle une vedette parmi les gens ordinaires.
Et puis, deuxième hasard, sur le parking, ma voiture était garée non loin de la sienne; si bien que nous avons pu encore échanger quelques mots.
Cette rencontre est totalement le fruit du hasard. J'ai toujours tiré mon chapeau bien bas à toutes les personnes qui n'hésitent pas à aller jusqu'au bout de leurs convictions avec autant de courage et de volonté, face au regard des autres, pas toujours forcément approbateur.
une si jolie petite plage...
... comme le film en noir et blanc des années 50'
avec le cher Gérard Philippe.
Dimanche 27 Septembre 2009. L'automne a beaucoup de mal à s'installer sur la région: le soleil n'a pas envie de céder la place! Tiens le plus longtemps possible,
ami Soleil...
Las des nombreuses vicissitudes du quotidien, un retraité de notre commune morbihannaise se met dans l'idée ce jour-là d'effectuer une petite excursion en solitaire
à la plage. Pourquoi la plage? Lui qui n'aime pas ça, puisqu'il n'y a pas posé les deux pieds depuis quatre ans et demi, bien que des amis sincères l'y aient incité
à le faire??? Il nous a dit qu'il en avait non seulement envie, mais bel et bien BESOIN d'aller un peu plus loin que la place de l'église de la commune
ou la croix de la route de Spézet.
Il s'est empressé de faire sa frugale vaisselle, de prendre sa petite sacoche un peu fourre-tout en vérifiant bien que l'appareil photo s'y trouve lui-aussi. Ah oui, le siège pliant utilisé sur la pelouse! Dans le coffre, lui-aussi. Surtout pas de livre à lire! Seulement une vieille paire de lunettes de soleil, car notre retraité voulait regarder la mer, et rien que ça. Ah si, quand même: humer l'air iodé de la mer, sentir l'odeur des pins... Entendre, écouter, humer et regarder.
Le retraité n'a pas choisi de plage au hasard. Il a jeté son dévolu sur cette petite plage sise à Fouesnant, chemin du camping de la Roche Percée, plage de Kerveltrec: un petit coin tout calme, mi à l'ombre, mi au soleil... Du sable fin, des rochers presqu'à fleur de sol, des promenades pédestres possibles plus loin...Et un magnifique panorama en cinémascope et en couleurs de la ville de Concarneau et des communes avoisinantes en face.
Le retraité a garé sa conduite intérieure à l'ombre des arbres qui bordent le chemin descendant vers cette petite plage tranquille. Puis il a emporté sa chaise pliante et ses lunettes de soleil, a ôté son gilet superflu...
D'emblée, il a repéré "son" endroit ombragé, pas éloigné de la mer, ni des autres petits baigneurs... Il a ouvert le siège, s'y est bien calé, et n'a pas raté un seul pixel de toutes les beautés qu'il avait dans son champ visuel. Longtemps... Longtemps...Longtemps...
Un jeune homme, allongé non loin de là, s'est levé, a dû déplacer la couverture sur laquelle il s'était allongé pour bronzer et l'étendre un peu plus loin, mais sous le soleil cette fois-là... Une mamie-kiki n'a pas cessé de gronder son "bébé" car celle-ci (la petite chienne) visiblement souhaitait trotter un peu, mais Mamie, elle, n'en avait pas envie. Conflit de générations... Un autre monsieur "faisait le coq" devant sa "cour" formée de quelques membres de sa famille...
La plus belle, c'était la Mer, sa douceur, ses petites vaguelettes qui venaient s'étaler sur le sable fin...Les goëlands et les gris, dans le ciel...les bateaux d'agrément qui faisaient rêver...le ski nautique... le jet-ski un peu plus éloigné, pour la sécurité...les enfants et leurs châteaux de sable qui s'écroûlaient sous la faible force des vaguelettes.
Un après-midi enchanteur. Le retraité a dit que sûrement,
il y reviendra une fois encore avant les premiers frimas.
avec le cher Gérard Philippe.
Dimanche 27 Septembre 2009. L'automne a beaucoup de mal à s'installer sur la région: le soleil n'a pas envie de céder la place! Tiens le plus longtemps possible,
ami Soleil...
Las des nombreuses vicissitudes du quotidien, un retraité de notre commune morbihannaise se met dans l'idée ce jour-là d'effectuer une petite excursion en solitaire
à la plage. Pourquoi la plage? Lui qui n'aime pas ça, puisqu'il n'y a pas posé les deux pieds depuis quatre ans et demi, bien que des amis sincères l'y aient incité
à le faire??? Il nous a dit qu'il en avait non seulement envie, mais bel et bien BESOIN d'aller un peu plus loin que la place de l'église de la commune
ou la croix de la route de Spézet.
Il s'est empressé de faire sa frugale vaisselle, de prendre sa petite sacoche un peu fourre-tout en vérifiant bien que l'appareil photo s'y trouve lui-aussi. Ah oui, le siège pliant utilisé sur la pelouse! Dans le coffre, lui-aussi. Surtout pas de livre à lire! Seulement une vieille paire de lunettes de soleil, car notre retraité voulait regarder la mer, et rien que ça. Ah si, quand même: humer l'air iodé de la mer, sentir l'odeur des pins... Entendre, écouter, humer et regarder.
Le retraité n'a pas choisi de plage au hasard. Il a jeté son dévolu sur cette petite plage sise à Fouesnant, chemin du camping de la Roche Percée, plage de Kerveltrec: un petit coin tout calme, mi à l'ombre, mi au soleil... Du sable fin, des rochers presqu'à fleur de sol, des promenades pédestres possibles plus loin...Et un magnifique panorama en cinémascope et en couleurs de la ville de Concarneau et des communes avoisinantes en face.
Le retraité a garé sa conduite intérieure à l'ombre des arbres qui bordent le chemin descendant vers cette petite plage tranquille. Puis il a emporté sa chaise pliante et ses lunettes de soleil, a ôté son gilet superflu...
D'emblée, il a repéré "son" endroit ombragé, pas éloigné de la mer, ni des autres petits baigneurs... Il a ouvert le siège, s'y est bien calé, et n'a pas raté un seul pixel de toutes les beautés qu'il avait dans son champ visuel. Longtemps... Longtemps...Longtemps...
Un jeune homme, allongé non loin de là, s'est levé, a dû déplacer la couverture sur laquelle il s'était allongé pour bronzer et l'étendre un peu plus loin, mais sous le soleil cette fois-là... Une mamie-kiki n'a pas cessé de gronder son "bébé" car celle-ci (la petite chienne) visiblement souhaitait trotter un peu, mais Mamie, elle, n'en avait pas envie. Conflit de générations... Un autre monsieur "faisait le coq" devant sa "cour" formée de quelques membres de sa famille...
La plus belle, c'était la Mer, sa douceur, ses petites vaguelettes qui venaient s'étaler sur le sable fin...Les goëlands et les gris, dans le ciel...les bateaux d'agrément qui faisaient rêver...le ski nautique... le jet-ski un peu plus éloigné, pour la sécurité...les enfants et leurs châteaux de sable qui s'écroûlaient sous la faible force des vaguelettes.
Un après-midi enchanteur. Le retraité a dit que sûrement,
il y reviendra une fois encore avant les premiers frimas.
Coup de Coeur pour Thérèse...
" Le Télégramme " nous a permis récemment de prendre connaissance de la conclusion d'une navrante "histoire" survenue à une dame de Landrévarzec, proche de Quimper, Madame Thérèse Bescond, âgée de 83 ans.
Voici ce qu'a dit le journal:
" Le Tribunal de Quimper vient de rétablir une habitante de Landrévarzec dans son bon droit. Victime d'une erreur de cadastre, elle a dû se battre contre la municipalité qui s'estimait propriétaire de sa cour."
" Ils n'auraient pas dû s'acharner, c'est ça qui m'a fait le plus mal", avoue Thérèse Bescond, que cette affaire a longtemps empêché de dormir. Sa situation a même ému ses clients du marché de Quimper où elle continuait de venir vendre,
à plus de 80 ans, les produits de son jardin.
Ils avaient lancé des pétitions pour la soutenir. Aujourd'hui, Thérèse va pouvoir continuer à cultiver son potager, l'esprit tranquille, et garer sa 4L dans "sa" cour.
>>>>> La suite de cette affaire est à lire dans "Le Télégramme"
de mardi 13 octobre 2009.
Voici ce qu'a dit le journal:
" Le Tribunal de Quimper vient de rétablir une habitante de Landrévarzec dans son bon droit. Victime d'une erreur de cadastre, elle a dû se battre contre la municipalité qui s'estimait propriétaire de sa cour."
" Ils n'auraient pas dû s'acharner, c'est ça qui m'a fait le plus mal", avoue Thérèse Bescond, que cette affaire a longtemps empêché de dormir. Sa situation a même ému ses clients du marché de Quimper où elle continuait de venir vendre,
à plus de 80 ans, les produits de son jardin.
Ils avaient lancé des pétitions pour la soutenir. Aujourd'hui, Thérèse va pouvoir continuer à cultiver son potager, l'esprit tranquille, et garer sa 4L dans "sa" cour.
>>>>> La suite de cette affaire est à lire dans "Le Télégramme"
de mardi 13 octobre 2009.
Thérèse a gagné!
Enfin!!!
Le Tribunal Administratif de Rennes vient en effet d'annuler la décision de la Municipalité de Landrévarzec (29), qui voulait faire de la cour de Madame Thérèse Bescond
une "voie communale".
Pour le rappel de cette histoire, on peut se reporter à la page 128 de ce blog, et lire l'article intitulé "coup de coeur pour Thérèse" (article écrit le 14 octobre 2009).
Thérèse, âgée de 83 ans, est à présent soulagée, quoi que...
Elle a des frais d'avocat de plus de 3 000 euros, et la commune de Landrévarzec
a été condamnée à lui verser seulement 600 euros...
Croisons les doigts pour que Thérèse réussisse quand même
à sortir une bonne fois de ce sac de noeuds!
Le Tribunal Administratif de Rennes vient en effet d'annuler la décision de la Municipalité de Landrévarzec (29), qui voulait faire de la cour de Madame Thérèse Bescond
une "voie communale".
Pour le rappel de cette histoire, on peut se reporter à la page 128 de ce blog, et lire l'article intitulé "coup de coeur pour Thérèse" (article écrit le 14 octobre 2009).
Thérèse, âgée de 83 ans, est à présent soulagée, quoi que...
Elle a des frais d'avocat de plus de 3 000 euros, et la commune de Landrévarzec
a été condamnée à lui verser seulement 600 euros...
Croisons les doigts pour que Thérèse réussisse quand même
à sortir une bonne fois de ce sac de noeuds!
romantica Dalida...
Dalida repose près de chez elle, dans la partie haute du cimetière de Montmartre. La tombe domine Paris. En contrebas, les arbres qu'elle aimait. Un lierre tenace et romantique glisse
entre les sépultures.
Orlando a fait sculpter par Aslan une Dalida grandeur nature, qui semble veiller sur elle-même. Drapée de blanc, elle s'avance, cheveux au vent. Derrière, une sorte d'arc de triomphe avec un soleil dont les rayons lui font une auréole.
L'endroit a un grand charme; on y respire une paix bucolique.
Au palmarès des cimetières de France,
cette demeure est la plus fleurie.
Dalida, disparue le 3 Mai 1987.
entre les sépultures.
Orlando a fait sculpter par Aslan une Dalida grandeur nature, qui semble veiller sur elle-même. Drapée de blanc, elle s'avance, cheveux au vent. Derrière, une sorte d'arc de triomphe avec un soleil dont les rayons lui font une auréole.
L'endroit a un grand charme; on y respire une paix bucolique.
Au palmarès des cimetières de France,
cette demeure est la plus fleurie.
Dalida, disparue le 3 Mai 1987.