Beg-An-Hent-Bras, Roudouallec
Les bouquets d'Annette . . . (1)
| c'est beau |
Lorsque je me rends au cimetière de Roudouallec me recueillir sur la tombe de Papa et Maman, je ne manque pas non plus d'observer le fleurissement des tombes voisines, puisqu'elles se trouvent dans mon champ visuel. L'une d'elles attire irrésistiblement mon regard et mon attention: il s'agit de la sépulture où reposent Joseph David et son épouse Louise Delille, les parents de Madame Annette David-Ponthou.
Cette tombe est toujours magnifiquement fleurie, non pas avec une plante déposée là rapidement, mais avec des fleurs coupées, poussant dans le jardin d'Annette. Notre amie Annette prend le temps de choisir ses fleurs, de les couper comme il faut, et de composer, sur la tombe même de ses parents, avec la délicatesse et le talent qu'on lui connaît, un bouquet du plus bel effet! Annette a les doigts verts, sans aucun doute.
Dès que le bouquet se fâne un peu, alors Annette le change et en recompose un autre, encore plus joli que le précédent. Et pourtant, Annette m'a dit qu'elle ne suivait pas de cours d'art floral... Elle n'en a pas besoin non plus, car Annette a du goût et du coeur. Beaucoup!
Les bouquets d'Annette . . . (2)
| samedi 28 juillet 2007 |
Les bouquets d'Annette . . . (3)
| dimanche matin 12 août 2007 |
Trois d'un coup ! ! ! . . .
| Denise Le Guellec et François Morvan sont à droite de cette photo |
C'est écrit dans le ciel . . .
Ce mercredi matin 12 septembre 2007 avant 10 heures, j'ai levé les yeux au ciel, pour voir s'il était d'un "bleu azur". Parce que c'est si beau, un ciel bleu!Las! Il n'était pas si bleu que ça!... Comme vous pouvez le constater, des avions moyens et longs courriers sillonnaient le ciel. Et encore, j'ai vu pire! Mais je n'avais pas alors l'appareil photo sous la main.
C'est vraisemblablement à cause de ces nombreuses stries aériennes qu'on nous a "collé" la tour de garde que l'on sait...
Ah, si Mermoz et Saint-Exupéry, ou bien Rolland-Garros revenaient, alors ils n'en croiraient sans doute pas leurs yeux!... L'une de mes voisines m'a dit:" Qu'est-ce que tu veux, mon pov', c'est le progrès! C'est comme ça! Tu n'y peux rien. Faut supporter."



















