Beg-An-Hent-Bras, Roudouallec
6- pourquoi ? (fin)
Dans l'ignorance du mobile de ce double crime épouvantable, les enquêteurs se livrèrent à de vastes opérations de vérifications d'identités et de contrôles d'alibis.
Un malaise terrible étreignait Gourin. Une peur confuse, pesante, envahissait peu à peu les habitants. Après les obsèques émouvantes des deux victimes, inhumées côte à côte selon le désir des enfants, les langues commencèrent à se délier. Il semblait impossible, le crime ayant été commis un matin vers 6h40, un jour d'ouverture de la chasse, que personne n'ait vu le meurtrier
sur le chemin du crime.
Une femme précisément, Madame Le Corre, avait aperçu après le départ de l'autorail un individu sur la route de Saint-Nicolas qui mène à Moulin-à-Vent. Un autre habitant, Emmanuel Toulgoat, aperçut aussi un homme (qui serait le même d'après son signalement que celui vu par Madame Le Corre) qui semblait rôder et qui, s'engageant dans le chemin de Moulin-à-Vent, se détourna en entendant Monsieur Toulgoat passer en voiture...
Mais, plus troublant encore, comment un homme, éclaboussé jusqu'aux yeux comme a dû l'être le meurtrier après son carnage, a-t-il pu s'évanouir dans la nature sans laisser la moindre trace?
Emile Le Clech, le fermier, a bien vu, à 9h30, quelqu'un, ou plutôt les deux jambes, vêtues d'un pantalon de bleu de chauffe propre, de quelqu'un dissimulé derrière les noisetiers...
Peut-on imaginer que le meurtrier, couvert de sang, a eu l'audace de descendre en plein jour, à découvert, jusqu'à la rivière pour se laver? Un chien policier lâché sur sa piste a suivi pourtant cette direction...
Avait-il des vêtements de rechange, et a-t-il enterré ses effets souillés en même temps que l'arme du crime?
Ou bien, comme le redoutent certains, se terre-t-il dans les bois impénétrables qui entourent Gourin, et ressortira-t-il un beau jour, la hache à la main, chassé par le froid et la faim?
................................................................
A ce jour, Lundi 15 Septembre 2008, on n'a toujours pas mis la main sur la personne qui a tué Marie-Anne Le Floc'h et Victorine Moulec.
FIN
Un malaise terrible étreignait Gourin. Une peur confuse, pesante, envahissait peu à peu les habitants. Après les obsèques émouvantes des deux victimes, inhumées côte à côte selon le désir des enfants, les langues commencèrent à se délier. Il semblait impossible, le crime ayant été commis un matin vers 6h40, un jour d'ouverture de la chasse, que personne n'ait vu le meurtrier
sur le chemin du crime.
Une femme précisément, Madame Le Corre, avait aperçu après le départ de l'autorail un individu sur la route de Saint-Nicolas qui mène à Moulin-à-Vent. Un autre habitant, Emmanuel Toulgoat, aperçut aussi un homme (qui serait le même d'après son signalement que celui vu par Madame Le Corre) qui semblait rôder et qui, s'engageant dans le chemin de Moulin-à-Vent, se détourna en entendant Monsieur Toulgoat passer en voiture...
Mais, plus troublant encore, comment un homme, éclaboussé jusqu'aux yeux comme a dû l'être le meurtrier après son carnage, a-t-il pu s'évanouir dans la nature sans laisser la moindre trace?
Emile Le Clech, le fermier, a bien vu, à 9h30, quelqu'un, ou plutôt les deux jambes, vêtues d'un pantalon de bleu de chauffe propre, de quelqu'un dissimulé derrière les noisetiers...
Peut-on imaginer que le meurtrier, couvert de sang, a eu l'audace de descendre en plein jour, à découvert, jusqu'à la rivière pour se laver? Un chien policier lâché sur sa piste a suivi pourtant cette direction...
Avait-il des vêtements de rechange, et a-t-il enterré ses effets souillés en même temps que l'arme du crime?
Ou bien, comme le redoutent certains, se terre-t-il dans les bois impénétrables qui entourent Gourin, et ressortira-t-il un beau jour, la hache à la main, chassé par le froid et la faim?
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A ce jour, Lundi 15 Septembre 2008, on n'a toujours pas mis la main sur la personne qui a tué Marie-Anne Le Floc'h et Victorine Moulec.
FIN
plein de monde au festy-gay 2010
... ce samedi 7 août 2010 de part et d'autre de la rue principale à regarder la troisième édition du festy-gay
mis en place par la direction du Starman Club
de Monsieur Raynal, l'homme en blanc.
Pour sûr qu'aucune manifestation dans la cité
n'avait encore à ce jour rassemblé autant de monde:
8 000 personnes, ont dit les officiels.
Nous n'avons pas de peine à les croire.
De l'endroit où nous étions assis, nous avons noté
la présence, parmi les spectateurs, de bon nombre
de Roudouallecois. Il y en avait d'autres
qui s'étaient placés dans différents secteurs
de cette marée humaine.
Gageons que des milliers de photos ont été prises.
Ainsi que des vidéos.
Nous n'avons remarqué aucune fausse note, aucun effet particulièrement choquant. Celles et ceux qui étaient là
l'étaient de leur plein gré et de bon gré aussi.
Nous vous proposons ici de regarder dix photos prises
lors de ce festival gourinois.
Les organisateurs sont très contents de la fête, et annoncent déjà la 4ème édition pour août 2011.
mis en place par la direction du Starman Club
de Monsieur Raynal, l'homme en blanc.
Pour sûr qu'aucune manifestation dans la cité
n'avait encore à ce jour rassemblé autant de monde:
8 000 personnes, ont dit les officiels.
Nous n'avons pas de peine à les croire.
De l'endroit où nous étions assis, nous avons noté
la présence, parmi les spectateurs, de bon nombre
de Roudouallecois. Il y en avait d'autres
qui s'étaient placés dans différents secteurs
de cette marée humaine.
Gageons que des milliers de photos ont été prises.
Ainsi que des vidéos.
Nous n'avons remarqué aucune fausse note, aucun effet particulièrement choquant. Celles et ceux qui étaient là
l'étaient de leur plein gré et de bon gré aussi.
Nous vous proposons ici de regarder dix photos prises
lors de ce festival gourinois.
Les organisateurs sont très contents de la fête, et annoncent déjà la 4ème édition pour août 2011.
un petit tour à Moustérien...
Nous n'avions encore jamais assisté au Pardon de Moustérien. Mais, comme on en avait parlé récemment chez nous à Roudouallec à l'occasion de notre propre Pardon du 15 Août, notre curiosité, saine, a été ainsi éveillée. Si bien que ce dimanche après-midi 22 août 2010, nous y sommes allés faire un tour,
pour voir!
9 kilomètres pile séparent la rue des ajoncs d'or de la chapelle de Moustérien.
Nous sommes arrivés un peu après 16h, la messe était finie, la chapelle était vide d'êtres humains. Mais les portes étaient ouvertes, ce qui nous a permis d'y pénétrer, de nous asseoir sur un banc, d'admirer l'intérieur du lieu de culte
et de prendre quelques photos.
Et puis, quelques personnes y sont entrées aussi, visiblement pour les mêmes raisons que nous. Dehors, les hauts-parleurs diffusaient de la musique d'accordéon du genre "la danse du tapis" et "à boire... à boire..."
Nous sommes sortis de la chapelle et avons jeté un coup d'oeil au champ
dans lequel se trouvaient les fêtards et les fêtardes...
Eh bien, nous n'avons pas vu beaucoup de stands!
Pourtant, nous y avons regardé à deux fois...
Néanmoins, ce qui a retenu notre attention, c'est qu'un immense et long chapiteau, sous lequel avaient été installées plusieurs rangées de tables,
occupait le bas du champ de la fête. Pour sûr que les organisateurs comptaient fermement accueillir beaucoup beaucoup de monde au repas du soir!!!
Quelques personnes buvaient un café;
d'autres étaient accoudées à la buvette.
Comme nous ne connaissions personne, nous n'avons pas insisté
et nous sommes revenus à Roudouallec.
Finalement, cette après-midi nous aura au moins permis
de visiter la Chapelle de Moustérien.
pour voir!
9 kilomètres pile séparent la rue des ajoncs d'or de la chapelle de Moustérien.
Nous sommes arrivés un peu après 16h, la messe était finie, la chapelle était vide d'êtres humains. Mais les portes étaient ouvertes, ce qui nous a permis d'y pénétrer, de nous asseoir sur un banc, d'admirer l'intérieur du lieu de culte
et de prendre quelques photos.
Et puis, quelques personnes y sont entrées aussi, visiblement pour les mêmes raisons que nous. Dehors, les hauts-parleurs diffusaient de la musique d'accordéon du genre "la danse du tapis" et "à boire... à boire..."
Nous sommes sortis de la chapelle et avons jeté un coup d'oeil au champ
dans lequel se trouvaient les fêtards et les fêtardes...
Eh bien, nous n'avons pas vu beaucoup de stands!
Pourtant, nous y avons regardé à deux fois...
Néanmoins, ce qui a retenu notre attention, c'est qu'un immense et long chapiteau, sous lequel avaient été installées plusieurs rangées de tables,
occupait le bas du champ de la fête. Pour sûr que les organisateurs comptaient fermement accueillir beaucoup beaucoup de monde au repas du soir!!!
Quelques personnes buvaient un café;
d'autres étaient accoudées à la buvette.
Comme nous ne connaissions personne, nous n'avons pas insisté
et nous sommes revenus à Roudouallec.
Finalement, cette après-midi nous aura au moins permis
de visiter la Chapelle de Moustérien.