Beg-An-Hent-Bras, Roudouallec
le Pardon du mois d'août 2010...
Nous nous étions dit(s) qu'il y aurait du monde au Pardon de Roudouallec ce dimanche 15 août 2010 et qu'il serait alors préférable de se rendre à l'église un peu plus tôt pour être sûr d'avoir une place assise. Oui, un peu comme quand on va au spectacle.
Nous sommes arrivés dans l'église une quarantaine de minutes avant l'heure annoncée dans la presse pour le début de la cérémonie. Mais nous n'étions pas les premiers...
Ce qui nous a donné l'occasion de bavarder un peu avec
les personnes déjà installées.
Nous en avons profité pour photographier le nouveau couvercle en bois sculpté, rénové, des fonts baptismaux,
que nous pourrons admirer ici bientôt.
Et puis surprise!
Alors que les gens arrivaient petit à petit dans l'église, une dame s'est positionnée devant le microphone et a commencé à réciter quelques prières et à chanter quelques trilles religieuses, que quelques pénitentes et quelques pénitents reprenaient dans l'église.
C'était un peu comme si l'on récitait un chapelet.
Le temps était très beau, raison pour laquelle
on avait laissé des portes ouvertes.
L'abbé Le Saux était à l'heure. Il y avait du monde
à la messe, mais pas la "foule" de jadis; on remarquait pas mal de places vides dans le fond de l'église. Henri Scoul était à l'orgue, dans la tribune. L'office pouvait commencer. Le premier chant fut le cantique en l'honneur de la sainte patronne de Roudouallec:
Notre-Dame de Lorette "Patronez Roudoualleg",
repris en choeur par une bonne partie de l'assistance. Nous avons trouvé la messe ordinaire, nous ne nous rappelons pas que le recteur ait fait un sermon
sortant des sentiers battus.
Puis fut annoncée la mise en place de la procession: la grande croix en métal, la vierge portée par quatre jeunes filles, et les trois bannières de la paroisse.
Le circuit processionnel: sortie par le fond de l'église, arrivée sur la place face à la Mairie, franchissement de la route nationale, quelques mètres dans la route de Chateauneuf, marche dans cette petite ruelle à gauche face à la route du manoir, arrivée de nouveau sur la grande route près de l'ancien bistrot-charcuterie Caurant, puis retour vers et dans l'église. Pas d'incident durant le parcours. Quant à nous, nous n'avons pas pris part à la procession car nous voulions être à l'aise pour prendre quelques photos.
Avant de "libérer" les fidèles, l'abbé Le Saux a fait quelques annonces à la cantonade; c'est ainsi que les gens ont pris connaissance que le comité d'animation proposait un café-gâteaux à la salle polyvalente.
Mais pas de fête profane. Nous sommes allés nous recueillir sur nos tombes au cimetière, puis nous sommes rentrés à la maison. Le Pardon 2010 avait vécu.
Que vive le futur Pardon de 2011.
..........................
Un coup de chapeau aux bénévoles qui ont contribué, d'une manière ou d'une autre, au bon déroulement
de ce Pardon 2010.
d'autres photos sur la page suivante
Nous sommes arrivés dans l'église une quarantaine de minutes avant l'heure annoncée dans la presse pour le début de la cérémonie. Mais nous n'étions pas les premiers...
Ce qui nous a donné l'occasion de bavarder un peu avec
les personnes déjà installées.
Nous en avons profité pour photographier le nouveau couvercle en bois sculpté, rénové, des fonts baptismaux,
que nous pourrons admirer ici bientôt.
Et puis surprise!
Alors que les gens arrivaient petit à petit dans l'église, une dame s'est positionnée devant le microphone et a commencé à réciter quelques prières et à chanter quelques trilles religieuses, que quelques pénitentes et quelques pénitents reprenaient dans l'église.
C'était un peu comme si l'on récitait un chapelet.
Le temps était très beau, raison pour laquelle
on avait laissé des portes ouvertes.
L'abbé Le Saux était à l'heure. Il y avait du monde
à la messe, mais pas la "foule" de jadis; on remarquait pas mal de places vides dans le fond de l'église. Henri Scoul était à l'orgue, dans la tribune. L'office pouvait commencer. Le premier chant fut le cantique en l'honneur de la sainte patronne de Roudouallec:
Notre-Dame de Lorette "Patronez Roudoualleg",
repris en choeur par une bonne partie de l'assistance. Nous avons trouvé la messe ordinaire, nous ne nous rappelons pas que le recteur ait fait un sermon
sortant des sentiers battus.
Puis fut annoncée la mise en place de la procession: la grande croix en métal, la vierge portée par quatre jeunes filles, et les trois bannières de la paroisse.
Le circuit processionnel: sortie par le fond de l'église, arrivée sur la place face à la Mairie, franchissement de la route nationale, quelques mètres dans la route de Chateauneuf, marche dans cette petite ruelle à gauche face à la route du manoir, arrivée de nouveau sur la grande route près de l'ancien bistrot-charcuterie Caurant, puis retour vers et dans l'église. Pas d'incident durant le parcours. Quant à nous, nous n'avons pas pris part à la procession car nous voulions être à l'aise pour prendre quelques photos.
Avant de "libérer" les fidèles, l'abbé Le Saux a fait quelques annonces à la cantonade; c'est ainsi que les gens ont pris connaissance que le comité d'animation proposait un café-gâteaux à la salle polyvalente.
Mais pas de fête profane. Nous sommes allés nous recueillir sur nos tombes au cimetière, puis nous sommes rentrés à la maison. Le Pardon 2010 avait vécu.
Que vive le futur Pardon de 2011.
..........................
Un coup de chapeau aux bénévoles qui ont contribué, d'une manière ou d'une autre, au bon déroulement
de ce Pardon 2010.
d'autres photos sur la page suivante
la fête champêtre du Moustoir 2010...
Raymond Raoul admire le savoir-faire de l'homme en short. |
Nous sommes arrivés au Moustoir vers 16h15, alors que le soleil brillait.
Au vu d'une seule voiture dans le champ faisant office de parking,
nous nous sommes un peu inquiétés!
Et puis nous avons été quelque peu soulagés
de constater que des voitures étaient garées sur le bord de la route, face au pré
où se déroulait la fête champêtre. Ce champ était probablement un peu trop éloigné du lieu des réjouissances! Il fallait "monter"...
A cette heure-là, franchement, il n'y avait pas beaucoup de monde.
Nous avons quand même pu rencontrer des personnes bien sympathiques
avec qui parler et refaire le Monde...
Le tourneur sur bois était fort loquace, pas avare d'explications ni de sourires. Nous en avons tous bien profité. Sur les photos, on le voit "tourner" le bois...
puis on peut admirer le pied de lampe fini.
De même, le patron gourinois du billard hollandais souriait à tout le monde.
Comme c'est agréable d'être accueilli par un sourire!
Une personne de Concarneau, que l'on voit sur la photo, nous a montré
tous ses talents en la matière. Un score à faire rêver les meilleurs!
Ladite personne tenait également un stand de façonnage de bois de diverses origines. Ses explications étaient des plus intéressantes. Mais tout ça était
quand même un peu cher... Et puis on ne voyait pas non plus forcément l'usage domestique que l'on pouvait en faire, à part une éventuelle décoration?
Il est possible de visiter la boutique de l'artiste
dans la Ville Close à Concarneau.
Madame Louise Raoul était préposée à la roue de la chance...
Pas "de la fortune", car les lots étaient destinés aux enfants,
même si des adultes ont tenté leur chance!
Raymonde Huiban et sa collègue Nicole Hascoat, dentelières-brodeuses hors-pair, exposaient et vendaient leurs oeuvres, nombreuses, forçant l'admiration des badauds desquels nous faisions partie.
La buvette, plantée au milieu du terrain, rassemblait les gens autour d'un ou plusieurs verres de cidre et autre boisson un peu alcoolisée. Il faut bien ça,
pour parler un peu plus que d'habitude! Alors les consommateurs consommaient, tout en discutant de choses et d'autres.
Les stands de l'ami Jos Guellec et de son compère dont nous avons oublié le nom, n'étaient pas fréquentés, tout au moins au moment où nous sommes arrivés. Quelques temps après, les deux amis ont quand même
"gagné un peu de sous!!!"
Un cabriolet tracté par un cheval doux promenait, moyennant finances,
les gens aux alentours du village du Moustoir. C'était très agréable
et décontractant. Merci à Daniel Massé!
Cinq "jambons" tournaient inlassablement sur une broche, dorés à point
par un feu de bois complètement "à l'ancienne".
Dans le grand abri en planches nouvellement construit sur le site,
ces dames s'affairaient qui devant la cuisinière, qui devant la grande cocotte
où cuisaient les pommes et terre, qui devant les machines à café,
qui devant le gaz où l'on faisait déjà chauffer les boîtes de ratatouille
pour accompagner le jambon...
Enfin, tous les bénévoles étaient occupés, il n'y a pas de doute.
Madame Josette Benoist, présidente du Club Menez Du, nous a offert
un morceau de "gâteau de Savoie". Une tasse de café, servie par Martine,
a fait descendre tout ça comme il convient.
Certes, on ne pourra pas citer tout le monde...
Mais il convient de remercier autant les bénévoles que les visiteurs
pour leurs participations.
Concernant les jeux bretons, nous trouvons que c'était
un peu tard à commencer...
Nous ne sommes restés que pour voir des gros bras scier des rondelles
de troncs d'arbre. Hallucinant, la rapidité avec laquelle certains binômes actionnaient la longue scie!!! D'autres jeux bretons ont suivi;
mais nous sommes partis avant et nous ne les avons pas vus.
De même, le repas de jambon à l'os nous a échappé,
car nous avions d'autres engagements par ailleurs.
Le président Jean-Paul Raoul et son équipe peuvent être fiers d'eux:
celles et ceux qui sont venus à la fête ne l'ont pas regretté
et sont bien décidés à revenir l'année prochaine.
Prochain rendez-vous:
Dimanche 19 Septembre,
pour le Pardon religieux.
d'autres photos dans les pages suivantes >>>>>>>
Au vu d'une seule voiture dans le champ faisant office de parking,
nous nous sommes un peu inquiétés!
Et puis nous avons été quelque peu soulagés
de constater que des voitures étaient garées sur le bord de la route, face au pré
où se déroulait la fête champêtre. Ce champ était probablement un peu trop éloigné du lieu des réjouissances! Il fallait "monter"...
A cette heure-là, franchement, il n'y avait pas beaucoup de monde.
Nous avons quand même pu rencontrer des personnes bien sympathiques
avec qui parler et refaire le Monde...
Le tourneur sur bois était fort loquace, pas avare d'explications ni de sourires. Nous en avons tous bien profité. Sur les photos, on le voit "tourner" le bois...
puis on peut admirer le pied de lampe fini.
De même, le patron gourinois du billard hollandais souriait à tout le monde.
Comme c'est agréable d'être accueilli par un sourire!
Une personne de Concarneau, que l'on voit sur la photo, nous a montré
tous ses talents en la matière. Un score à faire rêver les meilleurs!
Ladite personne tenait également un stand de façonnage de bois de diverses origines. Ses explications étaient des plus intéressantes. Mais tout ça était
quand même un peu cher... Et puis on ne voyait pas non plus forcément l'usage domestique que l'on pouvait en faire, à part une éventuelle décoration?
Il est possible de visiter la boutique de l'artiste
dans la Ville Close à Concarneau.
Madame Louise Raoul était préposée à la roue de la chance...
Pas "de la fortune", car les lots étaient destinés aux enfants,
même si des adultes ont tenté leur chance!
Raymonde Huiban et sa collègue Nicole Hascoat, dentelières-brodeuses hors-pair, exposaient et vendaient leurs oeuvres, nombreuses, forçant l'admiration des badauds desquels nous faisions partie.
La buvette, plantée au milieu du terrain, rassemblait les gens autour d'un ou plusieurs verres de cidre et autre boisson un peu alcoolisée. Il faut bien ça,
pour parler un peu plus que d'habitude! Alors les consommateurs consommaient, tout en discutant de choses et d'autres.
Les stands de l'ami Jos Guellec et de son compère dont nous avons oublié le nom, n'étaient pas fréquentés, tout au moins au moment où nous sommes arrivés. Quelques temps après, les deux amis ont quand même
"gagné un peu de sous!!!"
Un cabriolet tracté par un cheval doux promenait, moyennant finances,
les gens aux alentours du village du Moustoir. C'était très agréable
et décontractant. Merci à Daniel Massé!
Cinq "jambons" tournaient inlassablement sur une broche, dorés à point
par un feu de bois complètement "à l'ancienne".
Dans le grand abri en planches nouvellement construit sur le site,
ces dames s'affairaient qui devant la cuisinière, qui devant la grande cocotte
où cuisaient les pommes et terre, qui devant les machines à café,
qui devant le gaz où l'on faisait déjà chauffer les boîtes de ratatouille
pour accompagner le jambon...
Enfin, tous les bénévoles étaient occupés, il n'y a pas de doute.
Madame Josette Benoist, présidente du Club Menez Du, nous a offert
un morceau de "gâteau de Savoie". Une tasse de café, servie par Martine,
a fait descendre tout ça comme il convient.
Certes, on ne pourra pas citer tout le monde...
Mais il convient de remercier autant les bénévoles que les visiteurs
pour leurs participations.
Concernant les jeux bretons, nous trouvons que c'était
un peu tard à commencer...
Nous ne sommes restés que pour voir des gros bras scier des rondelles
de troncs d'arbre. Hallucinant, la rapidité avec laquelle certains binômes actionnaient la longue scie!!! D'autres jeux bretons ont suivi;
mais nous sommes partis avant et nous ne les avons pas vus.
De même, le repas de jambon à l'os nous a échappé,
car nous avions d'autres engagements par ailleurs.
Le président Jean-Paul Raoul et son équipe peuvent être fiers d'eux:
celles et ceux qui sont venus à la fête ne l'ont pas regretté
et sont bien décidés à revenir l'année prochaine.
Prochain rendez-vous:
Dimanche 19 Septembre,
pour le Pardon religieux.
d'autres photos dans les pages suivantes >>>>>>>