Beg-An-Hent-Bras, Roudouallec
prêts pour le Festival... (2)
Au fait, y aurait-il, par hasard, des endroits mieux que d'autres
pour planter des potirons?
Par expérience, on sait que les potirons aiment les terres meubles et bien amendées. Pour cette raison, ils sont le plus souvent possible cultivés SUR les piles de compost, ou repiqués directement SUR les tas de fumier. Ainsi, les mauvaises herbes y poussent beaucoup moins; mais il y a le risque de sécheresse, que l'on évite par un apport d'eau régulier. N'oublions pas non plus de cultiver les potirons dans des endroits ensoleillés.
pour planter des potirons?
Par expérience, on sait que les potirons aiment les terres meubles et bien amendées. Pour cette raison, ils sont le plus souvent possible cultivés SUR les piles de compost, ou repiqués directement SUR les tas de fumier. Ainsi, les mauvaises herbes y poussent beaucoup moins; mais il y a le risque de sécheresse, que l'on évite par un apport d'eau régulier. N'oublions pas non plus de cultiver les potirons dans des endroits ensoleillés.
prêts pour le Festival... (3)
- Semer des potirons.
On peut semer les graines de potiron à partir de fin avril en petits pots de 10 à 12cm. Il ne faut pas hésiter à les mettre dans un endroit chaud, à 20°.
Si on veut semer les potirons en pleine terre, il est préférable d'attendre la mi-mai pour dissiper tout risque de gelées nocturnes.
- Repiquer les potirons.
Dès la fin du mois de mai, ou trois semaines après l'ensemencement, il est possible de repiquer les plants dehors en pleine terre.
- Pincer des potirons.
Il est nécessaire de pincer les potirons, sinon la plante ne formera pas de pousses latérales. Quand la plante fait à peu près 45cm, alors c'est le moment idéal pour pincer.
S'il y a trop de tiges sur les potirons, alors on doit couper quelques pousses si on veut garder seulement quelques BEAUX fruits.
- Fécondation des potirons.
La fructification du potiron demande une fécondation, ce qui est la tâche des abeilles. On peut stimuler la fécondation en cueillant les pétales de fleurs mâles et de l'introduire dans les fleurs femelles.
- Récolter les potirons.
Chaque plant forme de 3 à 8 fruits. Il vaut mieux les récolter assez rapidement puisqu'ils perdent leur goût quand ils sont trop grands.
- Conserver les potirons.
On peut les conserver dans une cave, par exemple, pendant plusieurs mois à une température de 12°.
On peut semer les graines de potiron à partir de fin avril en petits pots de 10 à 12cm. Il ne faut pas hésiter à les mettre dans un endroit chaud, à 20°.
Si on veut semer les potirons en pleine terre, il est préférable d'attendre la mi-mai pour dissiper tout risque de gelées nocturnes.
- Repiquer les potirons.
Dès la fin du mois de mai, ou trois semaines après l'ensemencement, il est possible de repiquer les plants dehors en pleine terre.
- Pincer des potirons.
Il est nécessaire de pincer les potirons, sinon la plante ne formera pas de pousses latérales. Quand la plante fait à peu près 45cm, alors c'est le moment idéal pour pincer.
S'il y a trop de tiges sur les potirons, alors on doit couper quelques pousses si on veut garder seulement quelques BEAUX fruits.
- Fécondation des potirons.
La fructification du potiron demande une fécondation, ce qui est la tâche des abeilles. On peut stimuler la fécondation en cueillant les pétales de fleurs mâles et de l'introduire dans les fleurs femelles.
- Récolter les potirons.
Chaque plant forme de 3 à 8 fruits. Il vaut mieux les récolter assez rapidement puisqu'ils perdent leur goût quand ils sont trop grands.
- Conserver les potirons.
On peut les conserver dans une cave, par exemple, pendant plusieurs mois à une température de 12°.
les bénévoles aux champs (1)
Edmond Quéré, les bras "chargés" de mini-potirons. |
Les photos ont été prises ce samedi 3 octobre 2009, entre 14h et 14h30, alors que le ramassage des potirons commençait à peine, dans le champ de Didier Solliec,
à Penhoat en Gourin.
Tous les bénévoles annoncés n'avaient pas encore eu le temps d'arriver au moment de la prise de ces photos.
Mea Culpa!
Il eut été préférable de venir une heure plus tard pour observer les potirons bien rangés dans les remorques et prendre des photos un peu plus colorées. Mais au moins, on peut voir les bénévoles à l'oeuvre, le regard tourné vers le sol, une arme blanche à la main, prêts à sectionner tout ce qui peut l'être.
Selon les dires de nos amis, 2009 est une année qui a produit bien plus de potirons et autres courges que l'année précédente. Les saletés aussi, il y en a eu beaucoup! Mais cela n'a pas gêné la pousse des cucurbitacées.
à Penhoat en Gourin.
Tous les bénévoles annoncés n'avaient pas encore eu le temps d'arriver au moment de la prise de ces photos.
Mea Culpa!
Il eut été préférable de venir une heure plus tard pour observer les potirons bien rangés dans les remorques et prendre des photos un peu plus colorées. Mais au moins, on peut voir les bénévoles à l'oeuvre, le regard tourné vers le sol, une arme blanche à la main, prêts à sectionner tout ce qui peut l'être.
Selon les dires de nos amis, 2009 est une année qui a produit bien plus de potirons et autres courges que l'année précédente. Les saletés aussi, il y en a eu beaucoup! Mais cela n'a pas gêné la pousse des cucurbitacées.
les bénévoles aux champs (2)
Deux bénévoles droitiers et chaussés de lunettes courbent l'échine |
La raison d'être, de ces photos, n'est pas vraiment de montrer les potirons, mais plutôt de montrer quelques visages des personnes qui n'hésitent pas à consacrer une bonne partie de leur temps libre pour que le Festival des Potirons à venir soit une réussite.
Ces femmes et ces hommes sont des bénévoles; rien ni personne ne les oblige à faire ce qu'elles et qu'ils font, si ce n'est le plaisir d'être ensemble, pour une bonne cause. Il en est ainsi dans chaque association de la commune.
Ces femmes et ces hommes sont des bénévoles; rien ni personne ne les oblige à faire ce qu'elles et qu'ils font, si ce n'est le plaisir d'être ensemble, pour une bonne cause. Il en est ainsi dans chaque association de la commune.
le Festival des Potirons 2009 (1)
Madeleine Eveno-Bordier et Jean Le Marc'hadour, de Pont-Moor |
Eh bien, non! Il n'a pas plu...
Celles et ceux qui avaient apporté leur parapluie en ont été pour leurs frais. Ceci dit, on ne prend jamais trop de précautions. Dès samedi vers 4h de l'après-midi, on constatait qu'il y avait visiblement plus de monde que l'an dernier à la même heure. Un beau rayon de soleil, durable, a donné courage aux acheteuses et aux acheteurs. D'autant plus que le samedi, l'entrée est gratuite.
Frédo le crêpier a terminé sa bassine de pâte bien plus tôt qu'il ne l'avait pensé, et a donc dû éteindre ses biligs. Même chose pour ce dimanche!!! Il fallait arriver tôt
pour savourer les crêpes de Frédo.
Celles et ceux qui avaient apporté leur parapluie en ont été pour leurs frais. Ceci dit, on ne prend jamais trop de précautions. Dès samedi vers 4h de l'après-midi, on constatait qu'il y avait visiblement plus de monde que l'an dernier à la même heure. Un beau rayon de soleil, durable, a donné courage aux acheteuses et aux acheteurs. D'autant plus que le samedi, l'entrée est gratuite.
Frédo le crêpier a terminé sa bassine de pâte bien plus tôt qu'il ne l'avait pensé, et a donc dû éteindre ses biligs. Même chose pour ce dimanche!!! Il fallait arriver tôt
pour savourer les crêpes de Frédo.