Beg-An-Hent-Bras, Roudouallec
pour la mémoire de nos compatriotes et anciens compatriotes
disparus cette année 2010
disparus cette année 2010
- Marie Canaff-Le Grill
- Marie-Louise Riou, U.S.A.
(fille de Alain Riou et Marie Bénéat)
- Annette David-Ponthou
- Marie-José Le Gohiec
(Pleucadeuc)
- Yvette Le Beuze-Sinou
(Concarneau)
- Marie Hémery-Crevoisier
"Saint-Cloud"
- Annette David-Ponthou
- Marie-José Le Gohiec
(Pleucadeuc)
- Yvette Le Beuze-Sinou
(Concarneau)
- Marie Hémery-Crevoisier
"Saint-Cloud"
- Yves Le Dû
- Madame Sylvianne Le Reste (ancien restaurant routier "Ty Korn")
inhumée à Lanriec-Concarneau
- Pierre Raoul
- André Ponthou
(époux de Annette David)
- Marie Scialler, née Caurant - 100 ans.
(anciennement du Queidel - inhumée à Roudouallec)
- Patricia Riou-Le Hénaff
- Joseph Le Guillou
"Jop"
- François Kervran
(Poul Logoden)
- Louis "Lili" Quéré
(le Trépas)
- Marie-Thérèse Calvez-Pénoignon
(inhumée à Roudouallec)
- Marie-Thérèse Calvez-Pénoignon
(inhumée à Roudouallec)
trois du même quartier...
Nana et son Kiki... |
Nana Sieller-Péron tenait café dans une maison aujourd'hui disparue, mitoyenne au bar-restaurant "l'Octroi", et que Philomène et Jean Breut habitaient dans cette maison délaissée de nos jours, entre le carrefour face à l'Octroi et la ruelle des Peupliers.
Nana et Philomène avaient un point commun, outre leur gentillesse: elles ont pris soin pendant longtemps de leurs petites-filles: Marie-Claire Péron pour Nana, et Martine Hamel pour Philomène et Jean Breut. Nana avait deux fils: Albert et Raymond Péron. Quant à Philomène et Jean, nous connaissons leur fille Lucienne, que nous avons revue cet été au bourg; il y avait peut-être d'autres enfants, mais nous ne nous en souvenons plus, hélas encore...
Nana et Philomène avaient un point commun, outre leur gentillesse: elles ont pris soin pendant longtemps de leurs petites-filles: Marie-Claire Péron pour Nana, et Martine Hamel pour Philomène et Jean Breut. Nana avait deux fils: Albert et Raymond Péron. Quant à Philomène et Jean, nous connaissons leur fille Lucienne, que nous avons revue cet été au bourg; il y avait peut-être d'autres enfants, mais nous ne nous en souvenons plus, hélas encore...
Maï Toulgoat
Jadis et naguère, on surnommait l'école laïque "l'école du diable", par opposition à l'école privée qui, elle, était "l'école des frères" ou "l'école des soeurs", de confession catholique. Soit! C'était comme ça. On fera la "révolution" un autre jour... Toujours est-il que nous, les élèves de l'école laïque, recevions malgré tout une éducation religieuse, avec l'accord de nos parents bien sûr, et en dehors des heures de classe.
Oh, nous n'avions vraiment pas beaucoup de distance à parcourir pour nous rendre de l'école laïque à la maison où se déroulaient nos séances de catéchisme, puisque cela s'appelait ainsi: une vingtaine de mètres à peine... C'était dans l'actuelle maison jaune au centre du bourg, juste avant la pharmacie, entre la propriété de Yvette et Jean Riou, et l'entrée de l'école publique. C'était chez l'inoubliable et inoubliée Maï Toulgoat, que tant de Roudouallecoises et de Roudouallecois ont connue et aimée!
Nous, les petits garçons d'alors, dans la seconde moitié des années 50, nous y allions après le repas de midi et avant les cours de l'après-midi. Maï Toulgoat elle-aussi avait alors fini de manger, mais n'avait pas eu le temps de faire sa vaisselle... Qu'importe! On n'était pas à ça près... Elle nous faisait entrer dans l'unique pièce-cuisine du rez-de-chaussée de sa maison, nous montrait les tout petits bancs en bois sur lesquels nous devions nous asseoir et "rester sages"... Mais il faut bien avouer que sages, nous ne l'étions pas toujours.... Maï nous grondait un petit peu, puis nous faisait réciter un "notre père" et un "je vous salue Marie"... Après quoi, elle se lançait dans l'explication des "mystères" de l'église, et les divers "péchés" que l'on pouvait commettre... Le péché véniel!!! Que de mystères, sous cet adjectif! Maï nous donnait des "exemples"... Maï nous racontait la naissance de l'enfant Jésus, l'histoire des rois mages, et de tous ces personnages toujours présents dans le catéchisme... Nous ne comprenions pas toujours ce qu'elle nous disait: c'est dur, pour des petits élèves comme nous l'étions alors, de comprendre des histoires abstraites comme ça! En tout cas, on n'a pas oublié ces histoires-là, nous les sexagénaires d'aujourd'hui, ce qui montre bien que Maï savait comment nous enseigner la bonne parole... On nous donnait des images pieuses, et on avait des livres de catéchisme mod-kozh; et même des "cartes de messes", puisqu'il fallait bien qu'on aille aussi à la messe chaque dimanche matin, et ne pas oublier de "pointer" nos cartes à la sacristie à la fin de la messe, sinon, le diable "viendrait nous chercher"...
Maï était bilingue: elle faisait le caté en Breton et en Français. En Breton, c'était surtout pour les "septuagénaires" d'aujourd'hui, et les "octo..." Si! Si! Tout cela est vrai!
Nous aimions beaucoup Maï Toulgoat car elle nous paraîssait âgée, ce qui nous faisait penser à notre grand-mère d'alors... Nous ne lui avions jamais manqué de respect. Non, jamais. Maï est toujours dans nos souvenirs et dans nos coeurs.
Maï Toulgoat, c'était son nom de "jeune fille". A Roudouallec, on l'a toujours appelée ainsi, même si son nom de dame était Madame Marie Le Moal. Son mari avait été tué durant la guerre de 14-18, lui laissant un fils unique, Joseph Le Moal , prêtre-professeur à Saint-Ilan (22), n'ayant jamais eu de paroisse, né en 1914, comme nous l'a bien précisé Marie Breut-Le Goff.
Maï Toulgoat repose en Paix au cimetière de Roudouallec.
Oh, nous n'avions vraiment pas beaucoup de distance à parcourir pour nous rendre de l'école laïque à la maison où se déroulaient nos séances de catéchisme, puisque cela s'appelait ainsi: une vingtaine de mètres à peine... C'était dans l'actuelle maison jaune au centre du bourg, juste avant la pharmacie, entre la propriété de Yvette et Jean Riou, et l'entrée de l'école publique. C'était chez l'inoubliable et inoubliée Maï Toulgoat, que tant de Roudouallecoises et de Roudouallecois ont connue et aimée!
Nous, les petits garçons d'alors, dans la seconde moitié des années 50, nous y allions après le repas de midi et avant les cours de l'après-midi. Maï Toulgoat elle-aussi avait alors fini de manger, mais n'avait pas eu le temps de faire sa vaisselle... Qu'importe! On n'était pas à ça près... Elle nous faisait entrer dans l'unique pièce-cuisine du rez-de-chaussée de sa maison, nous montrait les tout petits bancs en bois sur lesquels nous devions nous asseoir et "rester sages"... Mais il faut bien avouer que sages, nous ne l'étions pas toujours.... Maï nous grondait un petit peu, puis nous faisait réciter un "notre père" et un "je vous salue Marie"... Après quoi, elle se lançait dans l'explication des "mystères" de l'église, et les divers "péchés" que l'on pouvait commettre... Le péché véniel!!! Que de mystères, sous cet adjectif! Maï nous donnait des "exemples"... Maï nous racontait la naissance de l'enfant Jésus, l'histoire des rois mages, et de tous ces personnages toujours présents dans le catéchisme... Nous ne comprenions pas toujours ce qu'elle nous disait: c'est dur, pour des petits élèves comme nous l'étions alors, de comprendre des histoires abstraites comme ça! En tout cas, on n'a pas oublié ces histoires-là, nous les sexagénaires d'aujourd'hui, ce qui montre bien que Maï savait comment nous enseigner la bonne parole... On nous donnait des images pieuses, et on avait des livres de catéchisme mod-kozh; et même des "cartes de messes", puisqu'il fallait bien qu'on aille aussi à la messe chaque dimanche matin, et ne pas oublier de "pointer" nos cartes à la sacristie à la fin de la messe, sinon, le diable "viendrait nous chercher"...
Maï était bilingue: elle faisait le caté en Breton et en Français. En Breton, c'était surtout pour les "septuagénaires" d'aujourd'hui, et les "octo..." Si! Si! Tout cela est vrai!
Nous aimions beaucoup Maï Toulgoat car elle nous paraîssait âgée, ce qui nous faisait penser à notre grand-mère d'alors... Nous ne lui avions jamais manqué de respect. Non, jamais. Maï est toujours dans nos souvenirs et dans nos coeurs.
Maï Toulgoat, c'était son nom de "jeune fille". A Roudouallec, on l'a toujours appelée ainsi, même si son nom de dame était Madame Marie Le Moal. Son mari avait été tué durant la guerre de 14-18, lui laissant un fils unique, Joseph Le Moal , prêtre-professeur à Saint-Ilan (22), n'ayant jamais eu de paroisse, né en 1914, comme nous l'a bien précisé Marie Breut-Le Goff.
Maï Toulgoat repose en Paix au cimetière de Roudouallec.
des visages que l'on n'a pas oubliés...
Nous comprenons bien que pour certaines et certains internautes qui nous font l'amitié de regarder régulièrement ce blog, découvrir ici assez souvent des photos de personnes disparues depuis quelques années peut paraître un peu morbide, que parfois ce blog peut ressembler un peu à une sorte de "Panthéon" des personnes célèbres... Et qu'elles et qu'ils préfèreraient voir des choses et des êtres plus "vivants" et que nous soyons davantage tournés vers l'avenir que vers le passé.
Nous répondons à cela que lorsqu'une personne nous signale qu'elle possède des vieilles photos, et que "si ça peut t'intéresser, tu n'as qu'à venir les voir..." , il n'y a pas besoin de nous le dire deux fois: nous y allons le plus vite possible. Et la plupart du temps, nous sommes extrêmement ému de découvrir, de revoir les visages de tant de personnes disparues que nous avons côtoyées à l'époque! Et nous nous disons aussi que probablement, ça pourrait faire plaisir aussi à certains internautes. C'est pourquoi nous les publions ici, dans le but de partager avec celles et ceux qui le souhaitent cette émotion que nous avons eue de revoir enfin ces personnes disparues pour la plupart. C'est aussi une façon de dire MERCI aux personnes qui nous ont fait confiance en nous prêtant leurs photos si anciennes.
Nous répondons à cela que lorsqu'une personne nous signale qu'elle possède des vieilles photos, et que "si ça peut t'intéresser, tu n'as qu'à venir les voir..." , il n'y a pas besoin de nous le dire deux fois: nous y allons le plus vite possible. Et la plupart du temps, nous sommes extrêmement ému de découvrir, de revoir les visages de tant de personnes disparues que nous avons côtoyées à l'époque! Et nous nous disons aussi que probablement, ça pourrait faire plaisir aussi à certains internautes. C'est pourquoi nous les publions ici, dans le but de partager avec celles et ceux qui le souhaitent cette émotion que nous avons eue de revoir enfin ces personnes disparues pour la plupart. C'est aussi une façon de dire MERCI aux personnes qui nous ont fait confiance en nous prêtant leurs photos si anciennes.
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photo 2: Philomène Breut
photo 1: Isabelle Toulgoat- Ollivier
posant, avec les autres personnes, lors d'un mariage à Roudouallec il y a évidemment plusieurs dizaines d'années... Isabelle avait succédé à ses parents, qui tenaient commerce (petit bistrot-alimentation-auberge) dans la maison ayant appartenu au regretté Loulou Allain, dont le pignon se trouve près de la pergola de la Mairie. Mais à l'époque, cette "ostaliri" ne ressemblait pas du tout à la maison d'aujourd'hui; nous vous la montrerons très bientôt.
L'ami Jean Le Brocher se plait à nous rappeler qu'Isabelle chantait fréquemment le grand succès de Line Renaud:
L'ami Jean Le Brocher se plait à nous rappeler qu'Isabelle chantait fréquemment le grand succès de Line Renaud:
"Étoile des Neiges"...
mon coeur amoureux... s'est pris au piège... de tes doux yeux.........
photo 2: Philomène Breut
Superbe Philomène!
Portant haut et si joliment sa plus que belle coiffe blanche bien amidonnée. Philomène et son mari Jean Breut vivaient dans la maison aujourd'hui délaissée se trouvant face à la place Louis Guiffès (Monument aux Morts). Philomène et Jean étaient la tante et l'oncle de notre compatriote Marie Breut-Le Goff.
photo 3: Anna Canévet
Portant haut et si joliment sa plus que belle coiffe blanche bien amidonnée. Philomène et son mari Jean Breut vivaient dans la maison aujourd'hui délaissée se trouvant face à la place Louis Guiffès (Monument aux Morts). Philomène et Jean étaient la tante et l'oncle de notre compatriote Marie Breut-Le Goff.
photo 3: Anna Canévet
Anna Canévet est la soeur de Marie Canévet-Le Moal, la Maman de notre ami Rémi Le Moal.Il convient de dire "Soeur Anna Canévet ", que l'on revoit ici lors de sa prise d'habit. À ses côtés, on reconnait Marie-Françoise Le Guillou, fille de René et de Marie, ainsi que Yvon et Pierre Fichen notamment. Anna se trouve actuellement en poste au Sénégal. Nous savons qu'elle possède là-bas une copie du CD que nous avions fait avec le cantique de chez nous "Patronez Roudoualleg"....
photo 4: des connaissances...
photo 4: des connaissances...
>>>>>>>1: Hélène Daoudal, très élégante, très belle...Lène était d'une très grande gentillesse, qui parlait à tout le monde. Nous l'aimions beaucoup. Elle n'a jamais été mariée. Quelques jours avant sa mort, elle nous avait téléphoné, d'une voix de plus en plus faible, nous demandant de "passer la voir". Hélas, nous n'en avons pas eu le temps. Hélène repose au cimetière de Gourin.
Lène habitait dans la coquette maison face à la maison neuve
de Philippe Jaffré.
de Philippe Jaffré.
>>>>>>>2: Lucien Le Moal, frère de Christine, chez qui il vivait au centre du bourg, près de la pharmacie. Lucien était très fier de nous parler de sa fille Michèle, enseignante.
>>>>>>>3: Anna Daoudal - Le Millier, soeur d'Hélène, qui habitait la Cité de Goasven, à Gourin. Tout comme Lène, Nana était très gentille et ne manquait pas une occasion de venir boire le café chez Lène, sa petite soeur! On aura remarqué une petite ressemblance avec Simone Signoret...
>>>>>>>4: Jean Le Moal, toujours fidèle au poste dans sa petite maison beige face à la pharmacie. Avec son épouse disparue Raymonde, Jean a vendu des chaussures dans les années 50, est allé un peu en Amérique (où Alain Riou lui "fritait des oeufs"...) et puis s'est lancé avec grand succès dans la fabrication de crêpes...
>>>>>>>5: Marie-Françoise Le Moal, fille unique de Jean et de Raymonde.
photo 5: Louis Bourhis et Marie Huiban, son épouse.
Louis était artisan-maçon, particulièrement réputé pour fabriquer de très solides lavoirs en "ciment"... Tous deux habitaient la maison située au pignon "Gourin" du restaurant Le Bienvenue. Louis et Marie étaient les parents de nos compatriotes et amis Lilianne Bourhis-Le Cras, Christian et René Bourhis.
>>>>>>>4: Jean Le Moal, toujours fidèle au poste dans sa petite maison beige face à la pharmacie. Avec son épouse disparue Raymonde, Jean a vendu des chaussures dans les années 50, est allé un peu en Amérique (où Alain Riou lui "fritait des oeufs"...) et puis s'est lancé avec grand succès dans la fabrication de crêpes...
>>>>>>>5: Marie-Françoise Le Moal, fille unique de Jean et de Raymonde.
photo 5: Louis Bourhis et Marie Huiban, son épouse.
Louis était artisan-maçon, particulièrement réputé pour fabriquer de très solides lavoirs en "ciment"... Tous deux habitaient la maison située au pignon "Gourin" du restaurant Le Bienvenue. Louis et Marie étaient les parents de nos compatriotes et amis Lilianne Bourhis-Le Cras, Christian et René Bourhis.
à propos des photos anciennes actuellement publiées...
Cela a commencé par ce besoin que nous éprouvions de rendre hommage à notre ancienne compatriote Christine Le Moal, ancienne institutrice de l'école privée, disparue en l'an 2 000. Mademoiselle Christine était si discrète, si gentille, que même si nous avons fait notre scolarité dans l'enseignement public, nous éprouvions malgré tout à son égard respect et affection.
Nous avions demandé à plusieurs personnes qui avaient fréquemment côtoyé Christine si, par un heureux hasard, elles n'avaient pas en leur possession quelques photos de notre regrettée amie, pour que nous puissions les publier ici. En vain!... Nous avions même présenté sur ce blog une "petite annonce" en ce sens. En vain encore...
Nous pensions la cause définitivement perdue, et nous nous étions dit(s) qu'il fallait renoncer à notre désir de vouloir rendre hommage à Mademoiselle Christine.
Et puis il y a quelques jours, nous nous sommes rendu(s) au domicile de notre chère Marie Breut-Le Goff, dans le but de lui demander des renseignements sur les personnes ayant habité jadis cette rue méconnue nommée pourtant "rue des peupliers"... Marie nous a "joyeusement" fourni les renseignements désirés... et en plus, nous avons eu droit à une bien agréable surprise!!!
" Ah, tu tombes bien! nous a dit Marie; justement je voulais te voir, car j'ai quelque chose pour toi! Tu vas voir..."
Nous avions demandé à plusieurs personnes qui avaient fréquemment côtoyé Christine si, par un heureux hasard, elles n'avaient pas en leur possession quelques photos de notre regrettée amie, pour que nous puissions les publier ici. En vain!... Nous avions même présenté sur ce blog une "petite annonce" en ce sens. En vain encore...
Nous pensions la cause définitivement perdue, et nous nous étions dit(s) qu'il fallait renoncer à notre désir de vouloir rendre hommage à Mademoiselle Christine.
Et puis il y a quelques jours, nous nous sommes rendu(s) au domicile de notre chère Marie Breut-Le Goff, dans le but de lui demander des renseignements sur les personnes ayant habité jadis cette rue méconnue nommée pourtant "rue des peupliers"... Marie nous a "joyeusement" fourni les renseignements désirés... et en plus, nous avons eu droit à une bien agréable surprise!!!
" Ah, tu tombes bien! nous a dit Marie; justement je voulais te voir, car j'ai quelque chose pour toi! Tu vas voir..."
En effet, nous avons vu!...
Sur la table de cuisine de Marie se trouvait un vieux sachet en plastique, que nous nous sommes empressé d'ouvrir! C'est ainsi que nous avons pu étaler "plein de vieilles photos", de cartes postales, de lettres, et que sais-je encore... La plupart de ces photos et des autres documents concernaient des personnes n'étant pas originaires de Roudouallec.Et tout-à-coup, ÉMOTION !
En paginant une sorte de livret contenant une photo de mariage, montrant les mariés et les filles et garçons d'honneur, nous sommes restés brusquement sans voix: nous venions de reconnaître Christine Le Moal, bien jeune à l'époque, qui était l'une des filles d'honneur sur cette photo du mariage de sa soeur Monique!!!
" Tu vois! nous a alors dit Marie; je savais bien que ça te plairait!!!"
Marie nous a alors raconté "l'histoire" de ce vieux sac en plastique rempli de ces non moins vieilles photos:
- Les personnes ayant racheté la maison beige près de la pharmacie, au centre du bourg, là où vécurent les familles de Christine et de Maï Toulgoat, avaient trouvé, dans le grenier, un vieux sac en plastique contenant des photos bien anciennes dont ils n'avaient rien à faire, et on les comprend bien... Là-dessus, le hasard a voulu que ces nouveaux propriétaires fassent connaissance avec notre autre amie Raymonde Le Bihan, de Coat-Plin-Coat... Au cours de la conversation, les propriétaires se trouvent à dire à Raymonde qu'ils venaient de mettre la main dans leur grenier sur un sac en plastique rempli de vieilles photos, et qu'ils s'apprêtaient à le jeter. Il n'en a pas fallu davantage pour que Raymonde suggère à ses nouveaux amis qu'ils veuillent bien lui donner ce sac au lieu de le jeter; et qu'elle, Raymonde, connaissait quelqu'un (.......nous!.......) à qui "ça pourrait intéresser"...
- Sur quoi, Raymonde prend possession du sac et, au lieu de l'emporter jusqu'à son domicile de Coat-Plin-Coat, le dépose chez Marie, au bourg, en suggérant à cette dernière de nous le prêter lorsque nous passerions par-là......
Et voilà comment nous avons pu "fouiller" parmi les vieilles photos qui dormaient depuis tant d'années CHEZ Christine Le Moal, que nous avons fini par TROUVER DES PHOTOS DE CHRISTINE ELLE-MÊME, et que contre toute attente, nous avons pu ENFIN rendre un hommage bien mérité à Mademoiselle Christine (et à d'autres personnes, par la même occasion).
Comme quoi, le Hasard fait parfois bien les choses. Nous n'aurons de cesses de remercier bien chaleureusement les propriétaires de la maison, Raymonde Le Bihan et Marie Breut-Le Goff pour leur Amitié et leur Solidarité.
- Les personnes ayant racheté la maison beige près de la pharmacie, au centre du bourg, là où vécurent les familles de Christine et de Maï Toulgoat, avaient trouvé, dans le grenier, un vieux sac en plastique contenant des photos bien anciennes dont ils n'avaient rien à faire, et on les comprend bien... Là-dessus, le hasard a voulu que ces nouveaux propriétaires fassent connaissance avec notre autre amie Raymonde Le Bihan, de Coat-Plin-Coat... Au cours de la conversation, les propriétaires se trouvent à dire à Raymonde qu'ils venaient de mettre la main dans leur grenier sur un sac en plastique rempli de vieilles photos, et qu'ils s'apprêtaient à le jeter. Il n'en a pas fallu davantage pour que Raymonde suggère à ses nouveaux amis qu'ils veuillent bien lui donner ce sac au lieu de le jeter; et qu'elle, Raymonde, connaissait quelqu'un (.......nous!.......) à qui "ça pourrait intéresser"...
- Sur quoi, Raymonde prend possession du sac et, au lieu de l'emporter jusqu'à son domicile de Coat-Plin-Coat, le dépose chez Marie, au bourg, en suggérant à cette dernière de nous le prêter lorsque nous passerions par-là......
Et voilà comment nous avons pu "fouiller" parmi les vieilles photos qui dormaient depuis tant d'années CHEZ Christine Le Moal, que nous avons fini par TROUVER DES PHOTOS DE CHRISTINE ELLE-MÊME, et que contre toute attente, nous avons pu ENFIN rendre un hommage bien mérité à Mademoiselle Christine (et à d'autres personnes, par la même occasion).
Comme quoi, le Hasard fait parfois bien les choses. Nous n'aurons de cesses de remercier bien chaleureusement les propriétaires de la maison, Raymonde Le Bihan et Marie Breut-Le Goff pour leur Amitié et leur Solidarité.
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quelques noms sur les personnages de la photo:
quelques noms sur les personnages de la photo:
1. Marie Toulgoat, la dame du catéchisme... (Mme Marie Le Moal)
2. Vonnig Toulgoat-Le Moal, épouse et mère..
3. Colas Le Moal, époux et père...
4. Lucien Le Moal.
5. Christine Le Moal.
6. Pierre Le Moal.
7. La grand-mère des 4 enfants Le Moal.
8. Monique Le Moal.
Marie Breut-Le Goff a fait de son mieux pour se rappeler
2. Vonnig Toulgoat-Le Moal, épouse et mère..
3. Colas Le Moal, époux et père...
4. Lucien Le Moal.
5. Christine Le Moal.
6. Pierre Le Moal.
7. La grand-mère des 4 enfants Le Moal.
8. Monique Le Moal.
Marie Breut-Le Goff a fait de son mieux pour se rappeler
le plus possible de noms....