Beg-An-Hent-Bras, Roudouallec
Anne-Marie et Daniel...
Oui, ce sont eux!
Anne-Marie Le Floc'h (Mme Quéré) et son frère Daniel...
On ne les a jamais oubliés.
La famille de Hervé Le Floc'h et de son épouse Marie habitait une petite maison se trouvant à peu près à l'endroit où est planté le panneau indiquant la rue "Allée des Montagnes Noires", près de la Résidence Ker Isole, à la place de l'ancien lavoir.
Des renseignements complémentaires sont consultables
sur ce blog.
De même que Daniel, Anne-Marie est à la retraite depuis quelques années; tous deux étaient dans le milieu hospitalier. Tous deux, ainsi que leur frère Henri, ont "ramé" pour arriver là où ils sont arrivés, et c'est tout à leur mérite.
Toujours est-il que c'est une grande joie de revoir ici Anne-Marie et son "petit" frère Daniel... On attend avec impatience
la suite des photos, et des renseignements divers...
Il paraît que Henri a de fort jolies moustaches!
........................................
adresse e-mail d'Anne-Marie:
amarie.quere@free.fr
(Limeil-Brévannes, 94, région parisienne)
Anne-Marie Le Floc'h (Mme Quéré) et son frère Daniel...
On ne les a jamais oubliés.
La famille de Hervé Le Floc'h et de son épouse Marie habitait une petite maison se trouvant à peu près à l'endroit où est planté le panneau indiquant la rue "Allée des Montagnes Noires", près de la Résidence Ker Isole, à la place de l'ancien lavoir.
Des renseignements complémentaires sont consultables
sur ce blog.
De même que Daniel, Anne-Marie est à la retraite depuis quelques années; tous deux étaient dans le milieu hospitalier. Tous deux, ainsi que leur frère Henri, ont "ramé" pour arriver là où ils sont arrivés, et c'est tout à leur mérite.
Toujours est-il que c'est une grande joie de revoir ici Anne-Marie et son "petit" frère Daniel... On attend avec impatience
la suite des photos, et des renseignements divers...
Il paraît que Henri a de fort jolies moustaches!
........................................
adresse e-mail d'Anne-Marie:
amarie.quere@free.fr
(Limeil-Brévannes, 94, région parisienne)
dans le coeur d'Anne-Marie...
Notre ancienne compatriote Anne-Marie Le Floc'h nous a fait parvenir un petit mot amical, que nous vous présentons ici à l'identique:
"Nous sommes restés très proches les uns des autres
et nous gardons de bonnes relations.
J'aime profondément mes frères, et je n'oublie pas non plus
mes belles-soeurs. Mon frère Henri a été agent de maîtrise à la S.N.C.F. Daniel a été aide-soignant et moi, cadre infirmier.
Roudouallec restera toujours dans nos coeurs et nous en gardons de bons souvenirs. Nos regrettés parents seraient fiers de la réussite
de leurs enfants. Anne-Marie."
"Nous sommes restés très proches les uns des autres
et nous gardons de bonnes relations.
J'aime profondément mes frères, et je n'oublie pas non plus
mes belles-soeurs. Mon frère Henri a été agent de maîtrise à la S.N.C.F. Daniel a été aide-soignant et moi, cadre infirmier.
Roudouallec restera toujours dans nos coeurs et nous en gardons de bons souvenirs. Nos regrettés parents seraient fiers de la réussite
de leurs enfants. Anne-Marie."
Ty Maï Moal...
À part dans quelques mémoires de "vieux" Roudouallecois, il n'y a plus hélas aucune trace de l'existence dans notre commune de la toute petite maison-boutique de notre chère Maï Moal et de Renann...
Et pourtant!...
Comme vous l'avez compris en regardant la photo, la maison de Maï Moal se trouvait à l'emplacement de l'actuelle maison de notre ami Louis Allain père, route de Gourin,
celle où se trouve un passage-tunnel permettant de passer en voiture de la rue principale à l'arrière de ladite maison.
La maison de Maï était un pen-ty, une maison basse, comportant des petites fenêtres aux volets en bois vert-foncé. Elle faisait partie d'une "rangée" de maisons plutôt semblables. C'est là que Maï exerçait son commerce de tissus divers, lainages et autres vêtements courants. Maï vendait aussi des bonbons!!! Votre serviteur s'en souvient parfaitement, car il passait devant pour aller à l'école...
Maï recevait les colis de ses commandes qui venaient de Quimper,
transportés par les cars Bordier.
Une chose essentielle: c'est la très grande gentillesse de Maï et de Renann.
Ça, ça restera toujours dans nos coeurs.
Nos deux amis reposent au cimetière de Roudouallec.
Et pourtant!...
Comme vous l'avez compris en regardant la photo, la maison de Maï Moal se trouvait à l'emplacement de l'actuelle maison de notre ami Louis Allain père, route de Gourin,
celle où se trouve un passage-tunnel permettant de passer en voiture de la rue principale à l'arrière de ladite maison.
La maison de Maï était un pen-ty, une maison basse, comportant des petites fenêtres aux volets en bois vert-foncé. Elle faisait partie d'une "rangée" de maisons plutôt semblables. C'est là que Maï exerçait son commerce de tissus divers, lainages et autres vêtements courants. Maï vendait aussi des bonbons!!! Votre serviteur s'en souvient parfaitement, car il passait devant pour aller à l'école...
Maï recevait les colis de ses commandes qui venaient de Quimper,
transportés par les cars Bordier.
Une chose essentielle: c'est la très grande gentillesse de Maï et de Renann.
Ça, ça restera toujours dans nos coeurs.
Nos deux amis reposent au cimetière de Roudouallec.
Zabelle, avant que tout ne s'efface...
la maison qui fut celle de Zabelle, aujourd'hui "à vendre"... |
Depuis quelques semaines, il est possible de voir sur ce blog une ancienne "réclame" du mois de Mai 1950, annonçant la reprise des foires dans notre commune de Roudouallec.
Tout autour de cette "affiche", l'on avait placé des encarts publicitaires pour "promouvoir" les artisans et commerçants du coin à cette occasion. Des "espaces publicitaires", qu'on appelle ça aujourd'hui... Pourquoi pas, après tout?
Une fort sympathique dame retraitée de notre commune a pu voir cette série d'articles que nous venons d'évoquer, et s'en est trouvée très émue de remonter ainsi un peu dans ses souvenirs. Cette dame ne souhaite pas du tout que l'on mentionne ici son nom exact; mais pour faciliter l'écriture de cet article,
nous l'appellerons Martine.
Le hasard a voulu que la semaine dernière, Martine et votre serviteur se rencontrent aux abords de la boulangerie. Nous étions en train de bavarder de ces choses-là, lorsqu'une autre copine, retraitée elle-aussi et tout autant discrète que Martine (Colette), arrive à notre rencontre, venant de la pharmacie. Ce qui a fait que finalement, nous nous retrouvâmes à trois pour parler du passé, des souvenirs de cette commune que nous aimons tant et qui s'appelle Roudouallec.
C'est Martine qui a commencé!
Elle a été particulièrement "surprise" par la petite réclame journalistique à propos de Madame Isabelle Ollivier...
La conversation ayant tellement retenu l'attention de votre serviteur, celui-ci a pensé que cela pouvait également intéresser quelques amis (es) internautes; c'est la raison pour laquelle
nous allons la résumer par écrit ici même.
Martine nous a d'abord rappelé qu'Isabelle Ollivier habitait à côté de l'ancienne école (actuelle Mairie) de Roudouallec. Que cette maison était devenue plus tard le salon de coiffure
de Madame Christianne Cras.
Ce à quoi Colette a ajouté que ce fut aussi la maison de notre regretté ami Loulou Allain, et que cette maison est actuellement à vendre.
Martine, pas avare de paroles, nous a dit que dans ses souvenirs d'enfant, Isabelle Ollivier avait un côté un peu "marginal" comme on dirait aujourd'hui. Sa boutique était grande et semblait très vide et poussiéreuse, peu achalandée.
Sur quoi, Colette a sur-ajouté, concernant le petit article de réclame de 1950, où le journaliste de l'époque avait écrit:
"la lecture la plus attrayante"
qu'elle-même, Colette, se rappelait y être allée plus d'une fois en compagnie de sa copine Anne-Marie acheter le magazine
"Bibi Fricotin"... Et Martine d'ajouter qu'elle aussi y allait s'y procurer les célèbres "P'tit Loup et Grand Loup", ainsi que "Nano et Nanette"...
Mais les copines ont surtout le souvenir commun que Isabelle Ollivier ne vendait pas vraiment une grande variété de magazines, sinon quelques uns particulièrement demandés par des "fidèles": par exemple, le "Pèlerin", et donc aussi quelques magazines
pour les enfants.
C'était plutôt tristounet, s'est souvenue Martine, qui ne se rappelle pas du tout que Isabelle avait un sourire particulièrement ouvert. De même pour l'épicerie fine! En fait, il s'agissait plutôt de conserves très ordinaires, a dit Martine....
Et pour finir, toujours à propos de cette petite réclame de 1950 sur Madame Isabelle Ollivier, tous les trois nous nous sommes dit que le journaliste de l'époque avait dû s'amuser à écrire un encart publicitaire bien flatteur, à partir d'une réalité sans doute
moins joyeuse. Mais la contre-publicité est souvent plus forte que la publicité tout court.
Comme quoi, le passé de notre commune n'a pas toujours été amusant. N'empêche que ce sont tout de même de sacrés souvenirs!
Tout autour de cette "affiche", l'on avait placé des encarts publicitaires pour "promouvoir" les artisans et commerçants du coin à cette occasion. Des "espaces publicitaires", qu'on appelle ça aujourd'hui... Pourquoi pas, après tout?
Une fort sympathique dame retraitée de notre commune a pu voir cette série d'articles que nous venons d'évoquer, et s'en est trouvée très émue de remonter ainsi un peu dans ses souvenirs. Cette dame ne souhaite pas du tout que l'on mentionne ici son nom exact; mais pour faciliter l'écriture de cet article,
nous l'appellerons Martine.
Le hasard a voulu que la semaine dernière, Martine et votre serviteur se rencontrent aux abords de la boulangerie. Nous étions en train de bavarder de ces choses-là, lorsqu'une autre copine, retraitée elle-aussi et tout autant discrète que Martine (Colette), arrive à notre rencontre, venant de la pharmacie. Ce qui a fait que finalement, nous nous retrouvâmes à trois pour parler du passé, des souvenirs de cette commune que nous aimons tant et qui s'appelle Roudouallec.
C'est Martine qui a commencé!
Elle a été particulièrement "surprise" par la petite réclame journalistique à propos de Madame Isabelle Ollivier...
La conversation ayant tellement retenu l'attention de votre serviteur, celui-ci a pensé que cela pouvait également intéresser quelques amis (es) internautes; c'est la raison pour laquelle
nous allons la résumer par écrit ici même.
Martine nous a d'abord rappelé qu'Isabelle Ollivier habitait à côté de l'ancienne école (actuelle Mairie) de Roudouallec. Que cette maison était devenue plus tard le salon de coiffure
de Madame Christianne Cras.
Ce à quoi Colette a ajouté que ce fut aussi la maison de notre regretté ami Loulou Allain, et que cette maison est actuellement à vendre.
Martine, pas avare de paroles, nous a dit que dans ses souvenirs d'enfant, Isabelle Ollivier avait un côté un peu "marginal" comme on dirait aujourd'hui. Sa boutique était grande et semblait très vide et poussiéreuse, peu achalandée.
Sur quoi, Colette a sur-ajouté, concernant le petit article de réclame de 1950, où le journaliste de l'époque avait écrit:
"la lecture la plus attrayante"
qu'elle-même, Colette, se rappelait y être allée plus d'une fois en compagnie de sa copine Anne-Marie acheter le magazine
"Bibi Fricotin"... Et Martine d'ajouter qu'elle aussi y allait s'y procurer les célèbres "P'tit Loup et Grand Loup", ainsi que "Nano et Nanette"...
Mais les copines ont surtout le souvenir commun que Isabelle Ollivier ne vendait pas vraiment une grande variété de magazines, sinon quelques uns particulièrement demandés par des "fidèles": par exemple, le "Pèlerin", et donc aussi quelques magazines
pour les enfants.
C'était plutôt tristounet, s'est souvenue Martine, qui ne se rappelle pas du tout que Isabelle avait un sourire particulièrement ouvert. De même pour l'épicerie fine! En fait, il s'agissait plutôt de conserves très ordinaires, a dit Martine....
Et pour finir, toujours à propos de cette petite réclame de 1950 sur Madame Isabelle Ollivier, tous les trois nous nous sommes dit que le journaliste de l'époque avait dû s'amuser à écrire un encart publicitaire bien flatteur, à partir d'une réalité sans doute
moins joyeuse. Mais la contre-publicité est souvent plus forte que la publicité tout court.
Comme quoi, le passé de notre commune n'a pas toujours été amusant. N'empêche que ce sont tout de même de sacrés souvenirs!
Avec le sourire de la Tenancière
chez Isabelle OLLIVIER
L'APERITIF DE MARQUE
LA PLUS FINE EPICERIE
LA LECTURE LA PLUS ATTRAYANTE
PLACE DE L'EGLISE
|
Paulette peint...
Paulette porte la veste de couleur marron-chocolat. |
Paulette Stéphan-Hascoat est une artiste!
Notre compatriote, domiciliée à l'endroit où se rencontrent la rue dite de Kastel Dour et le Chemin des Sources, a longtemps travaillé à la biscuiterie Le Guillou, avant de goûter avec ravissement à une retraite bien méritée. Paulette n'aime pas "rester sans rien faire"...Et elle a pensé que le moment était venu pour elle de "passer à la vitesse supérieure", concernant son passe-temps de peindre.
Nous avons eu l'occasion d'admirer les fort jolis tableaux de notre amie lors de récents Marchés de l'Art à la salle polyvalente de Roudouallec, et ailleurs. C'est ainsi que l'épouse de Yves Hascoat fait partie de l'association gourinoise "d'Ateliers en Expos", où l'on apprend aux participantes et participants notamment de nouvelles techniques de peinture. Paulette fréquente les "cours"
de manière assidue.
Nous attendons avec impatience le prochain Marché de l'Art, où nous comptons bien une nouvelle fois rendre hommage à notre si gentille et talentueuse artiste.
Roudouallec compte dans ses rangs d'autres dames dont les talents en Peinture Artistique sont bien connus: Jeannine Le Ster-Le Goff, Annie Péron-Lijour, Yvonne Caillarec. Il y en a certainement d'autres, mais hélas, leurs noms nous échappent. Puissent-elles ne pas trop nous en vouloir! Nous rectifierons dès que possible.
Notre compatriote, domiciliée à l'endroit où se rencontrent la rue dite de Kastel Dour et le Chemin des Sources, a longtemps travaillé à la biscuiterie Le Guillou, avant de goûter avec ravissement à une retraite bien méritée. Paulette n'aime pas "rester sans rien faire"...Et elle a pensé que le moment était venu pour elle de "passer à la vitesse supérieure", concernant son passe-temps de peindre.
Nous avons eu l'occasion d'admirer les fort jolis tableaux de notre amie lors de récents Marchés de l'Art à la salle polyvalente de Roudouallec, et ailleurs. C'est ainsi que l'épouse de Yves Hascoat fait partie de l'association gourinoise "d'Ateliers en Expos", où l'on apprend aux participantes et participants notamment de nouvelles techniques de peinture. Paulette fréquente les "cours"
de manière assidue.
Nous attendons avec impatience le prochain Marché de l'Art, où nous comptons bien une nouvelle fois rendre hommage à notre si gentille et talentueuse artiste.
Roudouallec compte dans ses rangs d'autres dames dont les talents en Peinture Artistique sont bien connus: Jeannine Le Ster-Le Goff, Annie Péron-Lijour, Yvonne Caillarec. Il y en a certainement d'autres, mais hélas, leurs noms nous échappent. Puissent-elles ne pas trop nous en vouloir! Nous rectifierons dès que possible.