Beg-An-Hent-Bras, Roudouallec
au tableau!
Ouvertes étaient les portes de l'école publique samedi matin 13 juin 2009, pour qui souhaitait venir jeter un coup d'oeil sur une partie des travaux faits par les élèves, et bavarder un moment avec les maîtresses et aussi avec qui on voulait, en vérité.
Il n'y avait rien à vendre, ni rien à acheter. Tout était offert, gratuit. Les gâteaux avaient été fabriqués par les parents d'élèves, comme c'est la gentille coutume dans toutes les écoles.
C'était aussi une très bonne occasion de rencontrer, de connaître, les jeunes papas et les jeunes mamans, roudouallecois de souche, ou nouvellement installés dans notre commune. Ce sont eux qui font tenir l'école! Sans eux, on serait contraint de fermer boutique.
Des membres du conseil municipal sont venus faire une visite; c'est ainsi que j'ai vu Madame Saouter et Monsieur Maréchal, adjoints; et Monsieur Guy Allain, conseiller (et aussi parent d'élève). Il y en avait peut-être d'autres? Mais je ne les ai pas vus. Les maîtresses d'écoles étaient là aussi, bien sûr, ainsi que Madame Christelle Le Guilly, présidente des parents d'élèves. J'allais oublier de mentionner la présence de l'ami Yves Le Moal, ancien maire et ancien directeur de l'école; et de son épouse Nicole, ancienne directrice de l'école maternelle publique de Guiscriff. Il faut dire qu'il y avait bien plus de dames que de messieurs.
Pour moi, il manquait tout de même quelque chose:
le charme des tableaux noirs (ou verts) en bois,
et les irremplaçables bâtons de craie Robert.
Il n'y avait rien à vendre, ni rien à acheter. Tout était offert, gratuit. Les gâteaux avaient été fabriqués par les parents d'élèves, comme c'est la gentille coutume dans toutes les écoles.
C'était aussi une très bonne occasion de rencontrer, de connaître, les jeunes papas et les jeunes mamans, roudouallecois de souche, ou nouvellement installés dans notre commune. Ce sont eux qui font tenir l'école! Sans eux, on serait contraint de fermer boutique.
Des membres du conseil municipal sont venus faire une visite; c'est ainsi que j'ai vu Madame Saouter et Monsieur Maréchal, adjoints; et Monsieur Guy Allain, conseiller (et aussi parent d'élève). Il y en avait peut-être d'autres? Mais je ne les ai pas vus. Les maîtresses d'écoles étaient là aussi, bien sûr, ainsi que Madame Christelle Le Guilly, présidente des parents d'élèves. J'allais oublier de mentionner la présence de l'ami Yves Le Moal, ancien maire et ancien directeur de l'école; et de son épouse Nicole, ancienne directrice de l'école maternelle publique de Guiscriff. Il faut dire qu'il y avait bien plus de dames que de messieurs.
Pour moi, il manquait tout de même quelque chose:
le charme des tableaux noirs (ou verts) en bois,
et les irremplaçables bâtons de craie Robert.
une complète...
la petite fille apprend son futur bénévolat. |
Du beurre, des oeufs, du gruyère rapé, du jambon finement tranché, des combinaisons entre ces ingrédients... et ça fait une et même plusieurs très bonnes crêpes. Sans oublier tout ce qui se rapporte au sucre: sucre en poudre, compote, froment, etc... Et aussi les boissons: eau, vin, cidre, café chaud... De quoi passer un début de soirée très agréable, en bonne compagnie.
Chacun sait bien que dans une soirée comme celle-là, les choses ne se passent pas comme dans une crêperie. Le principe change.
A l'entrée, on prend des petits papiers "vierges" sur lesquels sont écrites les noms des différentes crêpes qu'il est possible de manger; et à côté se trouvent indiqués les prix, et une case vide; exemple:
Alors, on sort son stylo, et on écrit dans les cases vides le nombre de crêpes de telle ou telle catégorie qu'on désire manger. J'en connais un qui a mentionné 7 crêpes; une autre en a pris 8!!!
Puis là, "on passe à la caisse" proprement dite, où la caissière fait l'addition des prix cochés, et on paie. La même caissière alors nous remet des petits "timbres" sur lesquels sont marqués les noms des crêpes voulues. Exemple:
Et on va s'assoir à table sans oublier ces fameux petits timbres... Selon les dires des serveuses et des serveurs, on comptait une moyenne de 5 timbres par convive. Après s'être assis, on "appelle" un(e) serveur(euse) et on lui remet un petit timbre pour la 1ère crêpe... Et ainsi de suite. Si, après avoir tout mangé, on a encore envie d'une dernière, on se lève de table et on va à la caisse
pour s'en payer une dernière.......
Pour les boissons, on va au bar ou à la table sur laquelle sont posées les bouteilles, et on demande ce qu'on veut au serveur.
Chacun sait bien que dans une soirée comme celle-là, les choses ne se passent pas comme dans une crêperie. Le principe change.
A l'entrée, on prend des petits papiers "vierges" sur lesquels sont écrites les noms des différentes crêpes qu'il est possible de manger; et à côté se trouvent indiqués les prix, et une case vide; exemple:
oeuf - gruyère | 1,50 € | ....... |
Alors, on sort son stylo, et on écrit dans les cases vides le nombre de crêpes de telle ou telle catégorie qu'on désire manger. J'en connais un qui a mentionné 7 crêpes; une autre en a pris 8!!!
Puis là, "on passe à la caisse" proprement dite, où la caissière fait l'addition des prix cochés, et on paie. La même caissière alors nous remet des petits "timbres" sur lesquels sont marqués les noms des crêpes voulues. Exemple:
1 jambon - beurre |
Et on va s'assoir à table sans oublier ces fameux petits timbres... Selon les dires des serveuses et des serveurs, on comptait une moyenne de 5 timbres par convive. Après s'être assis, on "appelle" un(e) serveur(euse) et on lui remet un petit timbre pour la 1ère crêpe... Et ainsi de suite. Si, après avoir tout mangé, on a encore envie d'une dernière, on se lève de table et on va à la caisse
pour s'en payer une dernière.......
Pour les boissons, on va au bar ou à la table sur laquelle sont posées les bouteilles, et on demande ce qu'on veut au serveur.
une froment à la compote...
quelqu'un vient de marcher sur le pied de Jean Guillou (Caëro). |
C'est impressionnant de voir les crêpiers et les crêpières à l'oeuvre! Verser la pâte sur le bilig, l'étaler sans en mettre "à côté", attendre que ça cuise... Puis retourner la crêpes et re-attendre qu'elle dore un peu plus... Y ajouter l'agrément: beurre, sucre, compote, jambon ou ce qui est proposé au menu... Pendant ce temps, la serveuse attend que la crêpière ait fini la crêpe, puis promptement va "servir" le ou la client(e). Et ainsi de suite, de nombreuses fois durant la soirée jusqu'à épuisement de la bassine de pâte.
Ce samedi soir, il y avait 6 jeunes (et jolies) dames à faire des crêpes; et 2 "messieurs": Éric Quéré, et notre jeune compatriote de Penhoas Clément Le Bec, âgé de 12 ou 13 ans, mais néanmoins déjà au geste assuré. Personnellement, j'ai mangé une crêpe faite par Clément et je regrette de ne pas en avoir savouré une deuxième.
Il y avait beaucoup de monde, comme d'habitude. Monsieur le Maire Louis-Marc Rivoal a honoré l'Amicale Laïque de sa présence. Mais certaines personnes, présentes habituellement, n'étaient pas dans la salle hier soir, pour raison d'absence de Roudouallec. Comme on a tous besoin les uns des autres, tout le monde est bienvenu.
C'était donc une soirée réussie. L'argent ramassé servira entièrement à financer les projets pédagogiques
à l'école publique.
Ce samedi soir, il y avait 6 jeunes (et jolies) dames à faire des crêpes; et 2 "messieurs": Éric Quéré, et notre jeune compatriote de Penhoas Clément Le Bec, âgé de 12 ou 13 ans, mais néanmoins déjà au geste assuré. Personnellement, j'ai mangé une crêpe faite par Clément et je regrette de ne pas en avoir savouré une deuxième.
Il y avait beaucoup de monde, comme d'habitude. Monsieur le Maire Louis-Marc Rivoal a honoré l'Amicale Laïque de sa présence. Mais certaines personnes, présentes habituellement, n'étaient pas dans la salle hier soir, pour raison d'absence de Roudouallec. Comme on a tous besoin les uns des autres, tout le monde est bienvenu.
C'était donc une soirée réussie. L'argent ramassé servira entièrement à financer les projets pédagogiques
à l'école publique.
le sourire de Christelle... (1)
Bonjour Irène,
Comme convenu, je viens te raconter un peu comment s'est déroulée la soirée "raclette" de l'école publique d'hier soir samedi 6 février 2010.
C'est dommage que ton état de santé ne t'aie pas permis de venir faire un tour.
Tu me connais: j'arrive toujours tôt, bien avant le début de la soirée, de façon à finir tôt également et rentrer tôt à la maison. Tout ça doit être dû au fait que je suis né un samedi matin à 7 heures et demie... Mais passons...
Comme il n'était pas encore 19 heures, j'ai attendu un peu dans ma voiture garée sur le parking de la salle polyvalente. Mais il faisait froid, et j'ai fini par entrer dans le hall, où l'on préparait déjà les plats à livrer aux personnes qui ne se déplaçaient point. Je t'entends déjà dire que ça devait être froid avant que ça n'arrive à leur domicile! C'est vrai, mais les personnes concernées font réchauffer ce qui doit l'être au four à micro-ondes, ou au four ordinaire.
Pour ne pas que l'on me "pique" la place où j'ai l'habitude de m'installer, j'ai choisi enfin d'entrer dans la salle, après avoir payé 11 euros le repas. Tu sais, Irène, au restaurant routier de la place de l'église, ça coûte aussi 11 euros. Comme tu regarderas les photos jointes dans cette lettre, tu verras où se trouve
"ma" place....... Des personnes commençaient à arriver, la plupart accompagnées d'enfants, élèves à l'école publique.
Madame Monique Bernard, qui habite le petit château "Ker Franck" à Beg-An-Hent-Bras, s'est assise à ma gauche. Madame Bernard était coiffée d'une charmante casquette-bonnet de "Titi Parisien", comme on en voit pas mal ça et là. Elle était accompagnée de son grand fils et du petit bonhomme de celui-ci, que tu peux découvrir aussi sur une photo... Je ne les connais pas personnellement, mais cela ne nous a pas empêchés d'entamer la conversation
les uns avec les autres sur des sujets inhabituels.
Ma chère copine Jeannine Gaonac'h s'est posée juste face à moi, et j'en ai été ravi. Comme tu le sais, Irène, Jeannine a plein de choses plus qu'intéressantes à nous narrer, dans divers domaines; c'est ainsi qu'elle nous a confié qu'elle va jouer dans une pièce de théâtre à Gourin au printemps prochain. Si tu veux, on pourra aller la voir?... Et puis, dans notre "coin", se trouvaient aussi Madame Cointrel et son grand fils.
Et puis, les convives arrivaient par groupes nombreux. J'ai repéré des personnes qui visiblement ne sont pas de Roudouallec. Tant mieux, me diras-tu... Nous irons donc chez eux lorsqu'à leur tour, ils organiseront quelque chose
de semblable.... Tu sais, chère Irène, il y avait de plus en plus de monde au fur et à mesure que le temps passait! La Présidente de l'Amicale Laïque Christelle Le Guilly, compagne de Louis-Marc Quéré, arborait un franc sourire de satisfaction, mêlé de quelqu'inquiétude: y aurait-il assez de nourriture pour tout ce monde???
Comme convenu, je viens te raconter un peu comment s'est déroulée la soirée "raclette" de l'école publique d'hier soir samedi 6 février 2010.
C'est dommage que ton état de santé ne t'aie pas permis de venir faire un tour.
Tu me connais: j'arrive toujours tôt, bien avant le début de la soirée, de façon à finir tôt également et rentrer tôt à la maison. Tout ça doit être dû au fait que je suis né un samedi matin à 7 heures et demie... Mais passons...
Comme il n'était pas encore 19 heures, j'ai attendu un peu dans ma voiture garée sur le parking de la salle polyvalente. Mais il faisait froid, et j'ai fini par entrer dans le hall, où l'on préparait déjà les plats à livrer aux personnes qui ne se déplaçaient point. Je t'entends déjà dire que ça devait être froid avant que ça n'arrive à leur domicile! C'est vrai, mais les personnes concernées font réchauffer ce qui doit l'être au four à micro-ondes, ou au four ordinaire.
Pour ne pas que l'on me "pique" la place où j'ai l'habitude de m'installer, j'ai choisi enfin d'entrer dans la salle, après avoir payé 11 euros le repas. Tu sais, Irène, au restaurant routier de la place de l'église, ça coûte aussi 11 euros. Comme tu regarderas les photos jointes dans cette lettre, tu verras où se trouve
"ma" place....... Des personnes commençaient à arriver, la plupart accompagnées d'enfants, élèves à l'école publique.
Madame Monique Bernard, qui habite le petit château "Ker Franck" à Beg-An-Hent-Bras, s'est assise à ma gauche. Madame Bernard était coiffée d'une charmante casquette-bonnet de "Titi Parisien", comme on en voit pas mal ça et là. Elle était accompagnée de son grand fils et du petit bonhomme de celui-ci, que tu peux découvrir aussi sur une photo... Je ne les connais pas personnellement, mais cela ne nous a pas empêchés d'entamer la conversation
les uns avec les autres sur des sujets inhabituels.
Ma chère copine Jeannine Gaonac'h s'est posée juste face à moi, et j'en ai été ravi. Comme tu le sais, Irène, Jeannine a plein de choses plus qu'intéressantes à nous narrer, dans divers domaines; c'est ainsi qu'elle nous a confié qu'elle va jouer dans une pièce de théâtre à Gourin au printemps prochain. Si tu veux, on pourra aller la voir?... Et puis, dans notre "coin", se trouvaient aussi Madame Cointrel et son grand fils.
Et puis, les convives arrivaient par groupes nombreux. J'ai repéré des personnes qui visiblement ne sont pas de Roudouallec. Tant mieux, me diras-tu... Nous irons donc chez eux lorsqu'à leur tour, ils organiseront quelque chose
de semblable.... Tu sais, chère Irène, il y avait de plus en plus de monde au fur et à mesure que le temps passait! La Présidente de l'Amicale Laïque Christelle Le Guilly, compagne de Louis-Marc Quéré, arborait un franc sourire de satisfaction, mêlé de quelqu'inquiétude: y aurait-il assez de nourriture pour tout ce monde???
le sourire de Christelle... (2)
Je continue un peu encore mon compte-rendu...
Tu imagines bien, Irène, que, comme pour l'école privée, les parents d'élèves se mettent eux aussi en quatre pour donner un coup de main, soit pour le servie à table, soit pour tout travail qu'on leur confie. Ainsi, Jeannine Gaonac'h, convive, s'est rendue à la cuisine faire la vaisselle après avoir mangé sa raclette.
Cela nous permet, à nous les "relativement vieux" parmis les amis de l'école, de faire connaissance avec les parents d'élèves établis depuis peu à Roudouallec.
Certains étaient préposés à la fonte du fromage; d'autres, à la vente des vins et au service de l'eau; d'autres passaient parmi les convives pour nous demander si on avait besoin de quelque chose. Enfin, tu imagines bien comment cela a pu se passer...
Jean Burel, de Beg-An-Hent-Bras, près du garage Peugeot, s'est dévoué corps et âme comme il le fait tous les ans pour "son" école. Sacré Jean!... Toujours prêt à rendre service... Sur des photos, on le voit couper de multiples rondelles d'andouilles, de saucissons à l'ail, de lard... Le jambon, c'est Jean! Les pommes de terre à cuire, c'est Jean! Le contrôle des plateaux avant la présentation sur les tables, c'est encore et toujours Jean!!!
J'ai fini par quitter la table vers 21 heures 10 et franchement, à cette heure là, Iréne, il y avait la foule! Oui, plein plein de monde!!!
La présidente Christelle et les institutrices et les parents d'élèves et les enfants et les convives étaient très satisfaits pour les raisons que l'on imagine bien...
Irène, j'allais oublier de te dire... Regarde bien ton journal ces jours-ci car tu vas nous voir en photo, les deux journalistes de Gourin sont venus faire leur reportage...
Voilà. A présent, tu peux avoir une idée pas trop "mauvaise" de cette soirée raclette de l'amicale laïque de Roudouallec. C'est une réussite
avec un grand "R". Tant mieux pour tout le monde.
Au Revoir, chère Irène, et à bientôt.
ton petit oiseau des îles...
Tu imagines bien, Irène, que, comme pour l'école privée, les parents d'élèves se mettent eux aussi en quatre pour donner un coup de main, soit pour le servie à table, soit pour tout travail qu'on leur confie. Ainsi, Jeannine Gaonac'h, convive, s'est rendue à la cuisine faire la vaisselle après avoir mangé sa raclette.
Cela nous permet, à nous les "relativement vieux" parmis les amis de l'école, de faire connaissance avec les parents d'élèves établis depuis peu à Roudouallec.
Certains étaient préposés à la fonte du fromage; d'autres, à la vente des vins et au service de l'eau; d'autres passaient parmi les convives pour nous demander si on avait besoin de quelque chose. Enfin, tu imagines bien comment cela a pu se passer...
Jean Burel, de Beg-An-Hent-Bras, près du garage Peugeot, s'est dévoué corps et âme comme il le fait tous les ans pour "son" école. Sacré Jean!... Toujours prêt à rendre service... Sur des photos, on le voit couper de multiples rondelles d'andouilles, de saucissons à l'ail, de lard... Le jambon, c'est Jean! Les pommes de terre à cuire, c'est Jean! Le contrôle des plateaux avant la présentation sur les tables, c'est encore et toujours Jean!!!
J'ai fini par quitter la table vers 21 heures 10 et franchement, à cette heure là, Iréne, il y avait la foule! Oui, plein plein de monde!!!
La présidente Christelle et les institutrices et les parents d'élèves et les enfants et les convives étaient très satisfaits pour les raisons que l'on imagine bien...
Irène, j'allais oublier de te dire... Regarde bien ton journal ces jours-ci car tu vas nous voir en photo, les deux journalistes de Gourin sont venus faire leur reportage...
Voilà. A présent, tu peux avoir une idée pas trop "mauvaise" de cette soirée raclette de l'amicale laïque de Roudouallec. C'est une réussite
avec un grand "R". Tant mieux pour tout le monde.
Au Revoir, chère Irène, et à bientôt.
ton petit oiseau des îles...