Beg-An-Hent-Bras, Roudouallec
le bon rougail de saucisses
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| il fallait attendre son tour |
C'était hier soir samedi 25 septembre 2010,
à la salle polyvalente, en faveur de l'École Publique
de notre commune.
Nous sommes arrivés à 7 heures, alors que le soleil brillait encore de ses derniers rayons. Nous étions
les premiers, si bien que nous sommes restés
à l'extérieur un moment, à parcourir des yeux
les rues et le parking.
Il faut bien passer le temps comme on peut...
Philippe Jaffré est arrivé au volant de sa camionnette
et a entrepris une marche-arrière intelligente
pour avoir moins de "travail"
à déposer quelques cartons de vins rosé et rouge.
Et de blanc aussi, pour les Kir(s)!
Des enfants s'amusaient aux alentours,
sans doute impatients de savourer le menu attendu...
Promptement sont arrivés Monsieur Yves Quintin,
ancien Maire de St-Goazec, et son élégante amie.
Nous avons bavardé les uns avec les autres,
puis avons décidé d'entrer dans la salle,
de manière à poursuivre la conversation "assis"...
À l'entrée, nous avons payé 11 euros le repas.
Il y avait 2 parties dans le billet d'entrée:
la 1ère partie pour choisir sur un plateau
une entrée parmi les 3 proposées
et un dessert au choix.
La 2ème partie: pour aller retirer le plat chaud
de rougail, une fois l'entrée mangée.
Nous nous sommes placés du côté gauche, de façon
à pouvoir parcourir des yeux l'ensemble des tables
bien alignées dans la salle. Sinon, on n'a que le mur comme paysage, ce qui est d'un triste!....
Sont arrivées de fidèles "copines": Claudine, Marianne, Jeannine Gaonac'h, Yvette Hélias, Jean Hémery
et son épouse Jeannine, lesquels se sont installés
à notre table... Conversation assurée!!!
Madame Josette Benoist, du Club Menez Du, et son époux Jacky, nous ont également rejoints. Si bien que notre petit groupe, de trois au départ, a rapidement pris
du volume. Tant mieux!! Du reste, Jeannine Gaonac'h et Yvette Quiniou-Hélias nous ont "appris des choses"
quant à la dénomination exacte et précise des cours d'eau
de Roudouallec. Nous en reparlerons ici plus tard.
D'autres personnes sont arrivées progressivement,
et se sont installées où bon leur semblait.
Les conversations allaient bon train...
Le rougail en a surpris plus d'un, car c'est un plat
que l'on n'a guère l'habitude de manger par chez nous. Mais la présence de saucisses, coupées en morceaux,
dans le mets, nous a "rassurés": les saucisses,
on connaît bien!
Oui, c'était bon, et l'ambiance était bonne aussi.
Les bénévoles et les parents d'élèves ont rempli leur mission, c'est très bien.Et les amis de l'École Publique
ont également de quoi être contents.
Ce fut une bonne soirée.
Nous nous sommes levés de table un peu avant 21 heures.
Jeannine Gaonac'h et ses copines étaient déjà
dans la cuisine à donner un coup de main
pour faire la vaisselle.
à la salle polyvalente, en faveur de l'École Publique
de notre commune.
Nous sommes arrivés à 7 heures, alors que le soleil brillait encore de ses derniers rayons. Nous étions
les premiers, si bien que nous sommes restés
à l'extérieur un moment, à parcourir des yeux
les rues et le parking.
Il faut bien passer le temps comme on peut...
Philippe Jaffré est arrivé au volant de sa camionnette
et a entrepris une marche-arrière intelligente
pour avoir moins de "travail"
à déposer quelques cartons de vins rosé et rouge.
Et de blanc aussi, pour les Kir(s)!
Des enfants s'amusaient aux alentours,
sans doute impatients de savourer le menu attendu...
Promptement sont arrivés Monsieur Yves Quintin,
ancien Maire de St-Goazec, et son élégante amie.
Nous avons bavardé les uns avec les autres,
puis avons décidé d'entrer dans la salle,
de manière à poursuivre la conversation "assis"...
À l'entrée, nous avons payé 11 euros le repas.
Il y avait 2 parties dans le billet d'entrée:
la 1ère partie pour choisir sur un plateau
une entrée parmi les 3 proposées
et un dessert au choix.
La 2ème partie: pour aller retirer le plat chaud
de rougail, une fois l'entrée mangée.
Nous nous sommes placés du côté gauche, de façon
à pouvoir parcourir des yeux l'ensemble des tables
bien alignées dans la salle. Sinon, on n'a que le mur comme paysage, ce qui est d'un triste!....
Sont arrivées de fidèles "copines": Claudine, Marianne, Jeannine Gaonac'h, Yvette Hélias, Jean Hémery
et son épouse Jeannine, lesquels se sont installés
à notre table... Conversation assurée!!!
Madame Josette Benoist, du Club Menez Du, et son époux Jacky, nous ont également rejoints. Si bien que notre petit groupe, de trois au départ, a rapidement pris
du volume. Tant mieux!! Du reste, Jeannine Gaonac'h et Yvette Quiniou-Hélias nous ont "appris des choses"
quant à la dénomination exacte et précise des cours d'eau
de Roudouallec. Nous en reparlerons ici plus tard.
D'autres personnes sont arrivées progressivement,
et se sont installées où bon leur semblait.
Les conversations allaient bon train...
Le rougail en a surpris plus d'un, car c'est un plat
que l'on n'a guère l'habitude de manger par chez nous. Mais la présence de saucisses, coupées en morceaux,
dans le mets, nous a "rassurés": les saucisses,
on connaît bien!
Oui, c'était bon, et l'ambiance était bonne aussi.
Les bénévoles et les parents d'élèves ont rempli leur mission, c'est très bien.Et les amis de l'École Publique
ont également de quoi être contents.
Ce fut une bonne soirée.
Nous nous sommes levés de table un peu avant 21 heures.
Jeannine Gaonac'h et ses copines étaient déjà
dans la cuisine à donner un coup de main
pour faire la vaisselle.
le concours de bouillie...
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C'était il y a ....... un certain temps!
En tout cas, cela existait encore dans la 2ème partie des années 50'
nous nous en souvenons fort bien pour y avoir participé!
Le Comité des Fêtes d'alors en organisait pour le Pardon du 15 Août. Ici, ça se passait sur l'actuel petit parking "deux-places" face à la pharmacie, alors bâtiment scolaire formé de deux classes et d'un logement de fonction à l'étage.
On "réquisitionnait" une remorque agricole, que l'on plaçait ici ou là dans le bourg selon l'organisation des autres jeux. On préparait vite-fait une bouillie toute simple, un peu sucrée quand même... Des cuillers aussi, une par enfant, ou par adulte!!! Donc, le "responsable" du jeu assemblait les joueurs deux par deux et face à face, les faisait monter sur la remorque et s'assoir
sur un bout de banc.
On bandait les yeux aux gourmands et on leur remettait un saladier de bouillie.
Au signal de départ, les yeux bandés, les joueurs devaient faire "manger" la bouillie à celui qui était face à lui... Et le "gagnant" était celui qui avait vidé son saladier le premier. Les commissaires étaient intraitables...
Mais tout le monde, participants et spectateurs, y trouvait largement
son compte de franche rigolade!!!!!
Nostalgie, quand tu nous tiens................
En tout cas, cela existait encore dans la 2ème partie des années 50'
nous nous en souvenons fort bien pour y avoir participé!
Le Comité des Fêtes d'alors en organisait pour le Pardon du 15 Août. Ici, ça se passait sur l'actuel petit parking "deux-places" face à la pharmacie, alors bâtiment scolaire formé de deux classes et d'un logement de fonction à l'étage.
On "réquisitionnait" une remorque agricole, que l'on plaçait ici ou là dans le bourg selon l'organisation des autres jeux. On préparait vite-fait une bouillie toute simple, un peu sucrée quand même... Des cuillers aussi, une par enfant, ou par adulte!!! Donc, le "responsable" du jeu assemblait les joueurs deux par deux et face à face, les faisait monter sur la remorque et s'assoir
sur un bout de banc.
On bandait les yeux aux gourmands et on leur remettait un saladier de bouillie.
Au signal de départ, les yeux bandés, les joueurs devaient faire "manger" la bouillie à celui qui était face à lui... Et le "gagnant" était celui qui avait vidé son saladier le premier. Les commissaires étaient intraitables...
Mais tout le monde, participants et spectateurs, y trouvait largement
son compte de franche rigolade!!!!!
Nostalgie, quand tu nous tiens................
requiem pour les courses à vélo...
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Quand on regarde ces photos-là, qu'est-ce qui nous fait le plus d'émotions???
Sont-ce les coureurs cyclistes des années passées qui, une fois l'an, roulaient dans la campagne de Roudouallec avant de sprinter vers Beg-An-Hent-Bras?
Ou bien, sont-ce l'existence et l'aspect des maisons du bourg
disparues depuis lors?
Ou peut-être les deux?...
Pour nous, ce sont les maisons du bourg et les façades des magasins qui nous ont foutu un sacré coup de "bourdon!" Et pourtant, maintenant qu'on regarde ces photos, TOUT remonte à la surface, et dans notre imagination, elles sont toujours là, ces maisons disparues pourtant... On ferme les yeux, et alors elles ré-apparaissent dans le cerveau et surtout dans le coeur. La grande maison blanche au pignon de laquelle se trouve un panneau d'affichage était située exactement à l'angle côté Gourin de la route de Guiscriff et de la route de Gourin. Elle était alors habitée par Pér Fleitour et sa gentille dame, qui s'occupaient comme ils pouvaient d'une vache ou de deux, au même endroit, dans une crèche attenante à cette maison.
On aperçoit aussi la maison basse (penty) de Mimi Grand', actuellement devenue un parking face au bar Kir-Y-Cool. Et la grande maison des Puillandre, menuiserie, propriété de Jacques Le Grand désormais.
Et puis le café-restaurant-alimentation générale de Madame Soaze Bordier, à l'angle côté Coray de la route de Guiscriff et de la route traversant notre bourg... Ah, cette devanture!!! Que d'émotion!!! Claudine Crenn y a travaillé durant tant d'années...
Madame Sylvianne Le Reste est devenue propriétaire de ce bâtiment ensuite, où son restaurant routier faisait florès, sous le nom de Ty Korn. Actuellement, il convient de parler de la résidence Ty Korn, propriété de la famille Chouffeur, qui y a installé des logements locatifs.
De même, l'ancien magasin de Marie Péron et de Loëz Caurant, Produits du Sol, épicerie générale... La devanture... Ouvert tout le temps...
On voit un tout petit peu, juste sur la droite de la photo, la petite menuiserie de Joseph David, qui fabriquait lui-même les cercueils aussi bien qu'il roulait le tambour municipal pour annoncer ce que le Maire lui demandait d'annoncer à la population communale d'alors...
Oui, tout ça, c'est du passé!...
.................................................................................
Les courses cyclistes, c'est aussi du passé!
Elles avaient lieu le dimanche suivant le 15 août. Le départ (et l'arrivée) se faisait devant le bistrot-forge de Soaze et Jos Bleuzen (actuel 66, rue Nicolas Le Grand) situé dans une "ligne droite", idéale pour un sprint démentiel... Le circuit était composé de 2 parties: une partie "courte" et une autre plus "longue", qui se faisaient vers la route de Kerlenn, Craou-Morc'h, Kerzellec, etc... Donc, dans la zone Sud-Est de Roudouallec. Le "podium" était constitué par une remorque de tracteur, aimablement prêtée par un agriculteur, placée contre la façade de la maison occupée actuellement par notre chère Thérèse Delille, face au bistrot de Soaze et Jos Bleuzen d'alors (plus tard, ce sera Jos "Papy Pudding" Hiliou qui prêtera son camion, avant que les "officiels" ne s'installent dans le petit no man's land au croisement de Park Bihan). Les gestionnaires de la courses étaient les Chasseurs de Gourin.
Tout s'est arrêté, car cela devenait très difficile, paraît-il, de dévier la circulation durant quelques heures, circulation qui devenait de plus en plus dense au fur et à mesure des années qui passaient... Voilà pourquoi il n'y a plus de courses à Roudouallec: le "progrès", l'augmentation du trafic a tué nos courses pour toujours.
....................................................
Ces photos nous ont été fort aimablement transmises par Dominique Foret, de Bois-Colombes, et de Roudouallec aussi (rue du Manoir - rue de kastel dour). Dominique et son frère Jean-Luc sont les enfants de Titine Poulichet-Foret, fille de notre gentille et regrettée Phine Poulichet, qui vendait chaussons en feutre, chaussettes en pure laine et autres tissus et lainages route de Chateauneuf.
Dominique "bosse" dans la photo, et il a toujours aimé ça!
Tant mieux pour la Mémoire de Roudouallec!
Sont-ce les coureurs cyclistes des années passées qui, une fois l'an, roulaient dans la campagne de Roudouallec avant de sprinter vers Beg-An-Hent-Bras?
Ou bien, sont-ce l'existence et l'aspect des maisons du bourg
disparues depuis lors?
Ou peut-être les deux?...
Pour nous, ce sont les maisons du bourg et les façades des magasins qui nous ont foutu un sacré coup de "bourdon!" Et pourtant, maintenant qu'on regarde ces photos, TOUT remonte à la surface, et dans notre imagination, elles sont toujours là, ces maisons disparues pourtant... On ferme les yeux, et alors elles ré-apparaissent dans le cerveau et surtout dans le coeur. La grande maison blanche au pignon de laquelle se trouve un panneau d'affichage était située exactement à l'angle côté Gourin de la route de Guiscriff et de la route de Gourin. Elle était alors habitée par Pér Fleitour et sa gentille dame, qui s'occupaient comme ils pouvaient d'une vache ou de deux, au même endroit, dans une crèche attenante à cette maison.
On aperçoit aussi la maison basse (penty) de Mimi Grand', actuellement devenue un parking face au bar Kir-Y-Cool. Et la grande maison des Puillandre, menuiserie, propriété de Jacques Le Grand désormais.
Et puis le café-restaurant-alimentation générale de Madame Soaze Bordier, à l'angle côté Coray de la route de Guiscriff et de la route traversant notre bourg... Ah, cette devanture!!! Que d'émotion!!! Claudine Crenn y a travaillé durant tant d'années...
Madame Sylvianne Le Reste est devenue propriétaire de ce bâtiment ensuite, où son restaurant routier faisait florès, sous le nom de Ty Korn. Actuellement, il convient de parler de la résidence Ty Korn, propriété de la famille Chouffeur, qui y a installé des logements locatifs.
De même, l'ancien magasin de Marie Péron et de Loëz Caurant, Produits du Sol, épicerie générale... La devanture... Ouvert tout le temps...
On voit un tout petit peu, juste sur la droite de la photo, la petite menuiserie de Joseph David, qui fabriquait lui-même les cercueils aussi bien qu'il roulait le tambour municipal pour annoncer ce que le Maire lui demandait d'annoncer à la population communale d'alors...
Oui, tout ça, c'est du passé!...
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Les courses cyclistes, c'est aussi du passé!
Elles avaient lieu le dimanche suivant le 15 août. Le départ (et l'arrivée) se faisait devant le bistrot-forge de Soaze et Jos Bleuzen (actuel 66, rue Nicolas Le Grand) situé dans une "ligne droite", idéale pour un sprint démentiel... Le circuit était composé de 2 parties: une partie "courte" et une autre plus "longue", qui se faisaient vers la route de Kerlenn, Craou-Morc'h, Kerzellec, etc... Donc, dans la zone Sud-Est de Roudouallec. Le "podium" était constitué par une remorque de tracteur, aimablement prêtée par un agriculteur, placée contre la façade de la maison occupée actuellement par notre chère Thérèse Delille, face au bistrot de Soaze et Jos Bleuzen d'alors (plus tard, ce sera Jos "Papy Pudding" Hiliou qui prêtera son camion, avant que les "officiels" ne s'installent dans le petit no man's land au croisement de Park Bihan). Les gestionnaires de la courses étaient les Chasseurs de Gourin.
Tout s'est arrêté, car cela devenait très difficile, paraît-il, de dévier la circulation durant quelques heures, circulation qui devenait de plus en plus dense au fur et à mesure des années qui passaient... Voilà pourquoi il n'y a plus de courses à Roudouallec: le "progrès", l'augmentation du trafic a tué nos courses pour toujours.
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Ces photos nous ont été fort aimablement transmises par Dominique Foret, de Bois-Colombes, et de Roudouallec aussi (rue du Manoir - rue de kastel dour). Dominique et son frère Jean-Luc sont les enfants de Titine Poulichet-Foret, fille de notre gentille et regrettée Phine Poulichet, qui vendait chaussons en feutre, chaussettes en pure laine et autres tissus et lainages route de Chateauneuf.
Dominique "bosse" dans la photo, et il a toujours aimé ça!
Tant mieux pour la Mémoire de Roudouallec!