Beg-An-Hent-Bras, Roudouallec
paëlla, sourires et ballon rond... (1)
Jean Burel et Éric Quéré étaient les premiers!
Les premiers à s'être faits servir deux bonnes barquettes de paëlla
"à emporter", avec deux mini-bouteilles en plastique remplies l'une de vin rouge, l'autre de vin rosé. Et l'une dans la poche de gauche, l'autre dans la poche de droite!! Question d'organisation.
Quant au dessert, une part de tarte aux pommes, ces messieurs l'avaient posée sur une petite assiette cartonnée. Au moindre faux pas, patatras!!!
Mais nos amis sont des hommes prudents, habiles même...
si bien que tout s'est correctement passé, entre la salle polyvalente et leurs véhicules garés devant le bar-brasserie du Président...
....... à suivre ...
Les premiers à s'être faits servir deux bonnes barquettes de paëlla
"à emporter", avec deux mini-bouteilles en plastique remplies l'une de vin rouge, l'autre de vin rosé. Et l'une dans la poche de gauche, l'autre dans la poche de droite!! Question d'organisation.
Quant au dessert, une part de tarte aux pommes, ces messieurs l'avaient posée sur une petite assiette cartonnée. Au moindre faux pas, patatras!!!
Mais nos amis sont des hommes prudents, habiles même...
si bien que tout s'est correctement passé, entre la salle polyvalente et leurs véhicules garés devant le bar-brasserie du Président...
....... à suivre ...
paëlla, sourires et ballon rond... (2)
Le hall d'entrée de la salle polyvalente embaumait voluptueusement de la bonne odeur de la paëlla que l'on s'affairait à maintenir précieusement au chaud dans la cuisine avoisinante. C'est qu'il fallait, mine de rien, exciter autant que faire se pouvait les nez fins des messieurs-dames qui s'attardaient à prendre l'apéritif servi par Mickaël Le Guern et Jean-Yves Sinquin avant de s'installer à table et de faire honneur au cuisinier.
C'était comme dans les cafétarias.
Après avoir payé les 11 euros que coûtait le repas, on prenait un plateau sur lequel l'un, l'une ou l'autre des bénévoles de service à ce moment-là nous déposait l'assiette blanche incassable remplie de riz jaune, de crevettes, de moules, de morceaux de poulet, de carrés de poivrons,
de chorizo fort, etc...
En un mot: de paëlla.
Après quoi, on choisissait une place à table pour s'asseoir et déguster entre amis le contenu de l'assiette. Les boissons sont celles que l'on peut se procurer lors de repas festifs semblables: vins rosé et blanc, eau minérale, jus de fruits... Sans oublier le pain frais et le beurre, incontournables éléments de tout repas breton qui se respecte.
Sans oublier le café chaud final...
Nous avons pris tout notre temps pour savourer au mieux notre repas. Nous avons bien bavardé avec Louis Le Naour, toujours fidèle aux repas des associations de Roudouallec, ainsi qu'avec Louis-Marc Le Goff, Jojo Le Ster, Pierrot Le Bihan et son épouse Nicole, Stéphanie Le Guern, et d'autres personnes encore, que nous ne connaissons seulement que "de vue"...
On était aux petits soins avec les convives, à qui l'on demandait s'ils avaient besoin de ceci ou de cela. Pas de fausse note dans le casting!
Notre ouïe, que nous avons fine, a capté deux mots principaux venus de la bouche de la secrétaire des Écureuils: "l'année prochaine..."
Nous en avons conclu que l'année prochaine,
il y aura de nouveau une telle soirée-repas, et c'est tant mieux.
C'était comme dans les cafétarias.
Après avoir payé les 11 euros que coûtait le repas, on prenait un plateau sur lequel l'un, l'une ou l'autre des bénévoles de service à ce moment-là nous déposait l'assiette blanche incassable remplie de riz jaune, de crevettes, de moules, de morceaux de poulet, de carrés de poivrons,
de chorizo fort, etc...
En un mot: de paëlla.
Après quoi, on choisissait une place à table pour s'asseoir et déguster entre amis le contenu de l'assiette. Les boissons sont celles que l'on peut se procurer lors de repas festifs semblables: vins rosé et blanc, eau minérale, jus de fruits... Sans oublier le pain frais et le beurre, incontournables éléments de tout repas breton qui se respecte.
Sans oublier le café chaud final...
Nous avons pris tout notre temps pour savourer au mieux notre repas. Nous avons bien bavardé avec Louis Le Naour, toujours fidèle aux repas des associations de Roudouallec, ainsi qu'avec Louis-Marc Le Goff, Jojo Le Ster, Pierrot Le Bihan et son épouse Nicole, Stéphanie Le Guern, et d'autres personnes encore, que nous ne connaissons seulement que "de vue"...
On était aux petits soins avec les convives, à qui l'on demandait s'ils avaient besoin de ceci ou de cela. Pas de fausse note dans le casting!
Notre ouïe, que nous avons fine, a capté deux mots principaux venus de la bouche de la secrétaire des Écureuils: "l'année prochaine..."
Nous en avons conclu que l'année prochaine,
il y aura de nouveau une telle soirée-repas, et c'est tant mieux.
dans l'atelier de Erwann Jézéquel
Ce qui nous a été possible de voir hier dimanche de Pâques dans l'après-midi, au village de Tréminut dans l'atelier de Erwann Jézéquel, était très nettement à dominante religieuse catholique: des statues et autres sculptures confiées à l'artiste par des communes pour rénovation, repeinture, pour que celles-ci retrouvent leur lustre d'antan.
Il n'y avait rien "à vendre", ni "à acheter", du moins à notre connaissance et à notre vue. On avait le temps de bavarder avec Erwann, qui se faisait un plaisir d'expliquer le pourquoi du comment et ce,
malgré une grosse rage de dents!
Il nous a fait écouter quelques notes de musique et de chants, composés et interprêtés par lui-même, et c'était bien agréable. Ne pouvant être à la fois au four et au moulin, l'homme de Tréminut, affairé à s'occuper des visiteurs, n'a pu nous montrer sa façon concrète de travailler. Nous aurions aimé le voir se saisir d'un pinceau et peindre, s'emparer d'un couteau et sculpter, etc...
Mais cet homme a du talent! Et même, DES talents certains; ça se voit
et ça s'entend. Espérons qu'il sera présent au prochain Marché de l'Art à Roudouallec, si Marché de l'Art il y a.
Il n'y avait rien "à vendre", ni "à acheter", du moins à notre connaissance et à notre vue. On avait le temps de bavarder avec Erwann, qui se faisait un plaisir d'expliquer le pourquoi du comment et ce,
malgré une grosse rage de dents!
Il nous a fait écouter quelques notes de musique et de chants, composés et interprêtés par lui-même, et c'était bien agréable. Ne pouvant être à la fois au four et au moulin, l'homme de Tréminut, affairé à s'occuper des visiteurs, n'a pu nous montrer sa façon concrète de travailler. Nous aurions aimé le voir se saisir d'un pinceau et peindre, s'emparer d'un couteau et sculpter, etc...
Mais cet homme a du talent! Et même, DES talents certains; ça se voit
et ça s'entend. Espérons qu'il sera présent au prochain Marché de l'Art à Roudouallec, si Marché de l'Art il y a.
8 Mai 2010, le début de l'oubli?
C'est tout de même triste, voire même grave, qu'il n'y ait pas eu davantage de monde, et d'enfants des écoles, à assister à la cérémonie du souvenir de la signature de la fin de la guerre de 1939-1945, le 8 Mai 2010, c'est-à-dire 65 ans après la date historique du 8 Mai 1945!!!
"Les gens ont oublié!"
nous avait dit Marie Breut-Le Goff l'année dernière.
C'est malheureusement vrai, lorsqu'on s'attarde un moment à balayer du regard
les quelques dames et messieurs qui, eux, avaient délaissé
pour quelques instants le confort douillet de leur domicile
et les bonnes odeurs de leur rôti dominical,
pour être là, sur la Place Louis Guiffès, au pied du Monument aux Morts, à honorer de leur présence les Citoyennes et les Citoyens de notre commune
qui avaient participé vaillamment aux combats contre les nazis de 1939-1945.
Sans oublier que certains de nos concitoyens y ont laissé leur vie!!!
On aurait également dû dire ne serait-ce que quelques mots pour rappeler
le parcours dramatique de Félicie Le Beux, qui a été récemment, et ENFIN,
été décorée de la Légion d'Honneur.
Quant aux enfants des écoles, on pouvait, hélas encore, les compter sur
les doigts de nos mains! Là, les maîtresses (et les parents) ont
un rôle essentiel à remplir
CONTRE L'OUBLI.
Le Maire a remis des papiers officiels à certains de nos compatriotes
en hommage à leur rôle actif CONTRE l'ennemi durant la dernière guerre mondiale de 1939-1945. Seulement trois personnes avaient physiquement pu se déplacer sur la Place pour recevoir eux-mêmes l'hommage par le Maire:
Charles Le Dû, Eugène Le Dour, Jacques Morin.
Les autres, pour raisons médicales et d'éloignement, n'étaient pas là.
On les comprend, bien entendu.
QUE FAIRE, POUR QUE TOUT CELA
NE TOMBE PAS DANS L'OUBLI ?
On peut voir d'autres photos dans l'article suivant.
"Les gens ont oublié!"
nous avait dit Marie Breut-Le Goff l'année dernière.
C'est malheureusement vrai, lorsqu'on s'attarde un moment à balayer du regard
les quelques dames et messieurs qui, eux, avaient délaissé
pour quelques instants le confort douillet de leur domicile
et les bonnes odeurs de leur rôti dominical,
pour être là, sur la Place Louis Guiffès, au pied du Monument aux Morts, à honorer de leur présence les Citoyennes et les Citoyens de notre commune
qui avaient participé vaillamment aux combats contre les nazis de 1939-1945.
Sans oublier que certains de nos concitoyens y ont laissé leur vie!!!
On aurait également dû dire ne serait-ce que quelques mots pour rappeler
le parcours dramatique de Félicie Le Beux, qui a été récemment, et ENFIN,
été décorée de la Légion d'Honneur.
Quant aux enfants des écoles, on pouvait, hélas encore, les compter sur
les doigts de nos mains! Là, les maîtresses (et les parents) ont
un rôle essentiel à remplir
CONTRE L'OUBLI.
Le Maire a remis des papiers officiels à certains de nos compatriotes
en hommage à leur rôle actif CONTRE l'ennemi durant la dernière guerre mondiale de 1939-1945. Seulement trois personnes avaient physiquement pu se déplacer sur la Place pour recevoir eux-mêmes l'hommage par le Maire:
Charles Le Dû, Eugène Le Dour, Jacques Morin.
Les autres, pour raisons médicales et d'éloignement, n'étaient pas là.
On les comprend, bien entendu.
QUE FAIRE, POUR QUE TOUT CELA
NE TOMBE PAS DANS L'OUBLI ?
On peut voir d'autres photos dans l'article suivant.